dc.contributor.author | Nepton, Samuel | |
dc.date.accessioned | 2017-11-13T16:39:02Z | |
dc.date.available | 2017-11-13T16:39:02Z | |
dc.date.issued | 2017-12 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/19610 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | |
dc.rights | Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada. | |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr | |
dc.title | Pour de nouvelles propriétés à l’entreprise | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | Nous désirons par cet essai proposer une solution à l’un des problèmes récurrents de notre système économique : l’iniquité de conditions disproportionnées entre les travailleurs des grandes entreprises et leurs propriétaires. En effet, les travailleurs sont à la merci des décisions des conseils d’administration et des actionnaires alors même que ce sont eux qui ont le plus investi dans leur relation avec la firme. La solution que nous avançons consiste en une réforme légale de la notion de « propriété » d’une entreprise. Nous défendons que les travailleurs acquièrent des droits de propriété sur le fruit de leur production et qu’il est légitime de les reconnaître afin d’accroître leur protection vis-à-vis des « propriétaires » de l’entreprise. Ces droits de propriété pourraient prendre la forme d’une participation au droit d’usage et donc à la contribution aux décisions de l’entreprise, mais tout particulièrement celle d’un droit à l’indemnisation. | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1703-1001 | |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | |
oaire.citationTitle | Ithaque | |
oaire.citationIssue | 21 | |
oaire.citationStartPage | 117 | |
oaire.citationEndPage | 138 | |