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dc.contributor.authorH. Couture, Maxime
dc.date.accessioned2017-11-13T16:34:57Z
dc.date.available2017-11-13T16:34:57Z
dc.date.issued2017-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/19608
dc.publisherSociété Philosophique Ithaque
dc.rightsCe texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada.
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr
dc.titleLa critique de la société démocratique : Jacques Rancière et le discours de la subjectivationfr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dcterms.abstractLe présent article interroge la dimension critique de la démocratie telle que l’a analysée Jacques Rancière. Nous nous penchons particulièrement sur les composantes du discours ouvrant l’espace de la subjectivité politique au sein de ce que Rancière nomme le « mode du dire » d’une communauté politique. L’article examine alors la tension entre cette manifestation du discours et la socialisation produite par l’institutionnalisation de la démocratie. Nous argumentons que l’exposé de Rancière au sujet du logos politique, bien que fécond, ne prend pas suffisamment en compte les exigences d’un troisième « mode » constitutif de la société et déterminant pour l’action politique, celui du « faire ».fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1703-1001
dcterms.languagefrafr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleIthaque
oaire.citationIssue21
oaire.citationStartPage95
oaire.citationEndPage115


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