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dc.contributor.authorCarrier-Lafleur, Thomas
dc.date.accessioned2017-08-29T18:40:05Z
dc.date.available2017-08-29T18:40:05Z
dc.date.issued2016-09-05
dc.identifier.urihttps://uottawa.scholarsportal.info/ojs/index.php/revue-analyses/article/view/1832
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/19176
dc.subjectRilke, Rainer Mariafr
dc.subjectPirandello, Luigifr
dc.subjectModernitéfr
dc.subjectSimulacrefr
dc.titleRegards de la modernité. Simulacre et négativité dans « Les Carnets de Malte Laurids Brigge » et « On tourne »fr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département d'histoire de l'art et d'études cinématographiquesfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue françaisefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériquesfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Canada Research Chair on Digital Textualitiesen
dcterms.abstractCette étude entend proposer une lecture comparative de deux romans européens, chronologiquement et thématiquement voisins, que l’on associe au mouvement général du modernisme littéraire : « Les Carnets de Malte Laurids Brigge » (1910) de Rainer Maria Rilke et « On tourne » (1915) de Luigi Pirandello. Il s’agira essentiellement de montrer en quoi ces textes donnent à voir le monde moderne à travers une série d’images marginales, qui s’agencent et se modulent alors que les personnages du récit progressent vers leur inévitable fin. Plus particulièrement, en portant notre attention sur les représentations de la vie parisienne chez Rilke et du fonctionnement d’un grand studio de cinéma chez Pirandello, nous verrons comment ces romans tentent d’instaurer une critique interne du progrès et de ses avatars.fr
dcterms.abstractThis study intends to propose a comparative reading of two European novels, chronologically and thematically close, that are often associated with the general movement of literary modernism: "The Notebooks of Malte Laurids Brigge" (1910) by Rainer Maria Rilke and "Shoot!" (1915) by Luigi Pirandello. The focus will be to show how these texts allow the modern world to be seen through a series of marginal images, which are coordinated and modulated as the characters of the story are progressing towards their inevitable end. In particular, paying attention to the representations of Parisian life in Rilke’s opus, and the mechanic of a big film’s studio in Pirandello’s, we will see how these novels try to establish an internal critique of progress and its avatars.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1715-9261
dcterms.languagefrafr
UdeM.VersionRioxxVersion acceptée / Accepted Manuscript
oaire.citationTitle@nalyses
oaire.citationVolume11
oaire.citationIssue3
oaire.citationStartPage163
oaire.citationEndPage182


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