Show item record

dc.contributor.advisorFortin, Francis
dc.contributor.authorDelle Donne, Julie
dc.date.accessioned2017-06-12T15:20:46Z
dc.date.available2017-06-12T15:20:46Z
dc.date.issued2017-05-01
dc.date.submitted2016-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/18926
dc.subjectMédias sociauxfr
dc.subject« Policing »fr
dc.subjectAdoption d’une innovationfr
dc.subjectChangement organisationnelfr
dc.subjectRenseignementfr
dc.subjectPréventionfr
dc.subjectRépressionfr
dc.subjectGestion de crisefr
dc.subjectSocial mediafr
dc.subjectAdoption of innovationfr
dc.subjectOrganizational changefr
dc.subjectIntelligencefr
dc.subjectPreventionfr
dc.subjectRepressionfr
dc.subjectEmergencyfr
dc.subject.otherSociology - Criminology and Penology / Sociologie - Criminologie et établissements pénitentiaires (UMI : 0627)fr
dc.titleInnovation et « policing » : l’adoption des médias sociaux par les membres des organisations policières du Québecfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineCriminologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractLes médias sociaux, tels que Facebook, Twitter et YouTube, seraient de plus en plus utilisés par la police afin de communiquer avec les citoyens, mais également afin de collecter des informations sur des suspects et afin de gérer des situations de crise (Altunbas, 2013; Denef, Bayerl et Kaptein, 2013; Frank, Cheng et Pun, 2011; IACP, 2013b). Par contre, ces observations s’appuient principalement sur des entrevues réalisées auprès des membres des organisations policières spécifiquement attitrés à l’utilisation des médias sociaux, tels que les enquêteurs affectés à la cybercriminalité. Ainsi, l’utilisation des médias sociaux par les autres membres demeure méconnue et il est impossible d’établir l’impact de cette technologie sur le « policing » dans son ensemble. L’objectif de la présente recherche est donc de décrire l’adoption des médias sociaux par les organisations policières du Québec en tenant compte de la diversité des acteurs et de leurs activités (Brodeur, 2010). Afin d’atteindre cet objectif, un questionnaire portant sur l’utilisation des médias sociaux en contexte de travail a été rempli par 177 membres des forces de l’ordre, soit 47 patrouilleurs, 42 enquêteurs, 67 analystes et 21 gestionnaires provenant de six organisations policières de la province du Québec. Les résultats révèlent que les médias sociaux deviennent un nouvel outil d’information pour la grande majorité d’entre eux, mais également un outil permettant à certains membres d’entrer en communication avec la population. Le niveau d’adoption des MS est moins important chez les patrouilleurs et superviseurs que chez les deux autres groupes. De plus, pour la majorité d'entre eux les médias sociaux représentent un outil parmi tant d'autres, alors que pour quelques membres ils deviennent leur outil principal de travail. Quant aux facteurs explicatifs, l’adoption des médias sociaux serait influencée par des facteurs organisationnels, mais également par la perception qu’ont les membres des médias sociaux. Alors que chez les groupes des enquêteurs et des analystes c’est principalement le fait d’occuper un poste de spécialiste qui détermine le niveau d’utilisation de l’outil, l’adoption chez les patrouilleurs dépend plutôt de la perception de la compatibilité de l’outil avec les activités de la police.fr
dcterms.abstractSocial media, such as Facebook, Twitter and YouTube, are new technologies being used by police organizations to communicate with citizens, but also to collect information and to respond to emergencies (Altunbas, 2013; Denef, Bayerl & Kaptein, 2013; Frank, Cheng & Pun, 2011; IACP, 2013b). However, previous research focused mainly on describing the adoption of social media by the members of law enforcement agencies who are related with those tools, such as cybercriminal investigators. Thus, it failed to provide a description of how it is used by other members, and it is impossible to establish the impact of this technology on "policing" as a whole. The objective of this research is to describe the adoption of social media by Quebec police organizations. Our analysis is based on Brodeur’s (2010) framework of police multidimensionality, which sees the police as an assemblage of many components and groups of people engaged in different kinds of activities. To represent this multidimensionality, 177 members of different police organizations in the Province of Quebec were asked to answer an exhaustive questionnaire on different aspects of social media use. Respondents were involved in a wide range of policing activities such as patrol (n=47), investigation (n=42), criminal analysis (n=67) and management (n=21). Results reveal that social media is a new information tool for the great majority of them and also a tool that allows some members to communicate with the population. The level of adoption of social media is lower for patrollers and supervisors than for the other two groups. Moreover, for the majority of members social media is a tool among many others, while for some members it became their main tool of work. Finally, this adoption would be influenced by organizational choices, but also by how the members perceive social media. Among investigator and analyst groups, it is mainly the fact of occupying a specific function related with social media who determines the level of use of the tool, the adoption in the patrollers depends rather on the perception of the compatibility of the tool with the police activities.fr
dcterms.languagefrafr


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show item record

This document disseminated on Papyrus is the exclusive property of the copyright holders and is protected by the Copyright Act (R.S.C. 1985, c. C-42). It may be used for fair dealing and non-commercial purposes, for private study or research, criticism and review as provided by law. For any other use, written authorization from the copyright holders is required.