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dc.contributor.authorMontplaisir, Samuel
dc.date.accessioned2017-02-21T21:26:38Z
dc.date.available2017-02-21T21:26:38Z
dc.date.issued2017-04
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/16415
dc.publisherSociété Philosophique Ithaque
dc.rightsCe texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada.
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr
dc.titleLes faits moraux ont-ils un statut épistémique privilégié ? (Non.)fr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dcterms.abstractL’objectif du présent article est de traiter de la question du scepticisme quant à la véracité des jugements moraux lorsque nous acceptons le réalisme moral. Plus particulièrement, je prendrai comme point de départ l’article de Ralph Wedgwood The Moral Evil Demons afin de présenter les deux types d’arguments qui peuvent nourrir un scepticisme moral. Je tenterai alors de montrer que les réponses de Wedgwood sont loin d’être concluantes tout en soulignant l’importance pour le réaliste moral de répondre de façon satisfaisante au défi du sceptique moral.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1703-1001
dcterms.languagefrafr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleIthaque
oaire.citationIssue20
oaire.citationStartPage51
oaire.citationEndPage88


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