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dc.contributor.authorTremblay, Véronique
dc.date.accessioned2016-03-27T21:18:32Z
dc.date.available2016-03-27T21:18:32Z
dc.date.issued2016
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/13361
dc.publisherSociété Philosophique Ithaque
dc.rightsCe texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada.
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr
dc.titleIntérêt et droit à la liberté des animaux non‐humainsfr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dcterms.abstractDans le cadre d’une théorie des droits basée sur les intérêts, la question du droit à la liberté des animaux non-humains nécessite de déterminer préalablement si ces animaux ont un intérêt intrinsèque à être libres. Cet article vise à faire le point sur le lien entre liberté et bien-être animal au moyen d’une analyse détaillée de deux positions opposées sur la question, celles d’Alasdair Cochrane et de Valéry Giroux. Après avoir soulevé les faiblesses de chacune des argumentations présentées par ces auteurs, je soutiendrai que, pour les animaux sentients, la liberté n’est qu’un bien instrumental à l’absence de souffrance et donc, qu’un droit à ne pas souffrir suffirait à protéger leur intérêt à être libres.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1703-1001
dcterms.languagefrafr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleIthaque
oaire.citationIssue18
oaire.citationStartPage91
oaire.citationEndPage103


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