dc.contributor.author | Mermans, Ely | |
dc.date.accessioned | 2016-03-27T21:14:31Z | |
dc.date.available | 2016-03-27T21:14:31Z | |
dc.date.issued | 2016 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/13360 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | |
dc.rights | Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada. | |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr | |
dc.title | Distinction morale entre animaux sauvages et non‐sauvages : une critique de l’approche contextuelle de Clare Palmer | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | Dans deux articles récents, Clare Palmer défend la portée morale de la distinction entre animaux non humains domestiqués et animaux non humains sauvages suivant une approche « contextuelle ». Suivant cette approche, Palmer considère que les liens historiques qui unissent les animaux domestiqués aux êtres humains, à l'origine causale d'un état de dépendance et de vulnérabilité subi par les premiers, génèrent des obligations morales spéciales à leur égard (devoir de protection, notamment) non partagées par les animaux non-domestiqués (« sauvages »). Considérant tout d'abord les limites de la distinction sauvage/domestique et de l'approche contextuelle proposées par Palmer, cet article questionne la capacité de l'approche contextuelle de Palmer à pouvoir faire sens néanmoins d'une autre idée de sauvage, à savoir un sauvage « localisé » ou environnemental. | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1703-1001 | |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | |
oaire.citationTitle | Ithaque | |
oaire.citationIssue | 18 | |
oaire.citationStartPage | 73 | |
oaire.citationEndPage | 90 | |