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dc.contributor.authorJodoin, Laurent
dc.date.accessioned2016-03-11T22:05:30Z
dc.date.available2016-03-11T22:05:30Z
dc.date.issued2011
dc.identifier.urihttp://www.revueithaque.org/fichiers/Ithaque8/03Jodoin.pdf
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/13315
dc.publisherSociété Philosophique Ithaque
dc.rightsCe texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada.
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr
dc.titleL’infini dans la théorie ergodique
dc.typeArticle
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dcterms.abstractEn mécanique statistique, un système physique est représenté par un système mécanique avec un très grand nombre de degrés de liberté. Ce qui est expérimentalement accessible, croit-on, se limite à des moyennes temporelles sur de longues périodes. Or, il est bien connu qu’un système physique tend vers un équilibre thermodynamique. Ainsi, les moyennes temporelles censées représenter les résultats de mesure doivent être indépendantes du temps. C’est pourquoi elles sont associées à des temps infinis. Ces moyennes sont par contre difficilement analysables, et c’est pourquoi la moyenne des phases est utilisée. La justification de l’égalité de la moyenne temporelle infinie et de la moyenne des phases est le problème ergodique. Ce problème, sous une forme ou une autre, a fait l’objet d’études de la part de Boltzmann (1868 ; 1872), les Ehrenfest (1912), Birkhoff (1831), Khinchin (1949), et bien d’autres, jusqu’à devenir une théorie à part entière en mathématique (Mackey 1974). Mais l’introduction de temps infinis pose des problèmes physiques et philosophiques d’importance. En effet, si l’infini a su trouver une nouvelle place dans les mathématiques cantoriennes, sa place en physique n’est pas aussi assurée. Je propose donc de présenter les développements conceptuels entourant la théorie ergodique en mécanique statistique avant de me concentrer sur les problèmes épistémologiques que soulève la notion d’infini dans ces mêmes développements.
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1703-1001
dcterms.languagefra
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleIthaque
oaire.citationIssue8
oaire.citationStartPage41
oaire.citationEndPage60


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