dc.contributor.author | Fradet, Karine | |
dc.date.accessioned | 2016-03-11T22:05:19Z | |
dc.date.available | 2016-03-11T22:05:19Z | |
dc.date.issued | 2013 | |
dc.identifier.uri | http://revueithaque.org/fichiers/cahiers/Lepage_Fradet.pdf | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/13231 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | |
dc.rights | Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada. | |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr | |
dc.title | La fondation logique des probabilités chez Carnap | |
dc.type | Article | |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | Carnap a eu une participation active dans les discussions entourant la crise des fondements avant de se lancer dans le projet d’établir les fondements logiques des probabilités, ce qu’il présente dans « Logical Foundations of Probability » (1950). Il a montré que les querelles entre l’interprétation des probabilités comme état du monde et comme état de connaissance de l’observateur étaient vaines puisqu’elles ne portaient pas sur le même concept. Pour lui, la logique des probabilités est la logique inductive : une probabilité décrit une relation logique, soit le degré de confirmation d’une hypothèse selon des données observées. Deux ans plus tard, dans « The Continuum of Inductive Methods » (1952), il enrichit son système et démontre qu’il existe une quantité infinie de méthodes inductives. Nous replacerons l’interprétation de Carnap parmi celles discutées à son époque et discuterons de certaines implications. | |
dcterms.language | fra | |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | |
oaire.citationTitle | Les Cahiers d'Ithaque | |
oaire.citationStartPage | 65 | |
oaire.citationEndPage | 84 | |