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dc.contributor.advisorPiché, David
dc.contributor.authorBarichard, Louis-Hervé
dc.date.accessioned2013-07-24T18:59:47Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2013-07-24T18:59:47Z
dc.date.issued2013-05-02
dc.date.submitted2012-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/9750
dc.subjectPhilippe le Chancelieren
dc.subjectphilosophieen
dc.subjectpensée médiévaleen
dc.subjectscolastiqueen
dc.subjectmétaphysiqueen
dc.subjectthéorie des transcendantauxen
dc.subjectpuissance et acteen
dc.subjectconvertibilitéen
dc.subjectanalogieen
dc.subjectsouverain bienen
dc.subjectmanichéismeen
dc.subjectnotion du malen
dc.subjectprivationen
dc.subjectPhilip the Chancelloren
dc.subjectphilosophyen
dc.subjectmedieval thoughten
dc.subjectscholasticismen
dc.subjectmetaphysicsen
dc.subjecttheory of the transcendentalsen
dc.subjectpotentiality and actualityen
dc.subjectconvertibilityen
dc.subjectanalogyen
dc.subjectsupreme gooden
dc.subjectManichaeismen
dc.subjectconcept of evilen
dc.subjectprivationen
dc.subject.otherPhilosophy / Philosophie (UMI : 0422)en
dc.titleLe problème du mal dans la Summa de bono de Philippe le Chancelieren
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePhilosophieen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sen
etd.degree.nameM.A.en
dcterms.abstractCe mémoire entend mettre en lumière la solution au problème du mal développée par Philippe le Chancelier dans la Summa de bono (1225-1228). À cet effet, notre analyse se polarise sur la notion du mal qui occupe à la fois le système des transcendantaux et la division du bien créé découlant du principe du souverain bien. La somme est bâtie d’après la primauté de la notion du bien transcendantal, et fut rédigée par opposition avec la doctrine manichéenne des Cathares, en vogue au XIIIe siècle, qui s’appuyait sur la prééminence de deux principes métaphysiques causant le bien et le mal, d’où devaient procéder toutes les choses de la Création. Ceci explique que nous ayons privilégié de seulement examiner les notions du bien et du mal en un sens général, car c’est au stade universel de l’ontologie du bien que l’auteur défait la possibilité du mal de nature, en amont des ramifications du bien créé, déployées, à l’envi, dans les questions de la somme où les réponses sont assignées à des problèmes spécifiques. Nous offrons ici, pour la première fois, une traduction en français d’une série de questions ayant permis de mener à bien ce projet.en
dcterms.abstractThis master’s thesis intends to clarify Philip the Chancellor’s answer to the problem of evil in the Summa de bono (1225-1228). To this end, we focus on the concept of evil as located within the transcendental system and the division of created good resulting from the supreme good. This sum, which is conceived from the primacy of the transcendental notion of good, was drafted in opposition to the Manichean doctrine of Cathars, a belief popular in the thirteenth century, which states that two metaphysical principles cause good and evil and it is from these principles that all things are created by nature. For this reason, we decided to study the concepts of good and evil only in a general sense, because the author dismantles the possibility of natural evil at the universal level of the ontology of the good and, prior to the deployment of the created good, it is through the sum’s questions that specific problems can be resolved. Here, we offer for the first time a French translation of several questions useful to this project.en
dcterms.languagefraen


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