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dc.contributor.advisorShatenstein, Bryna
dc.contributor.authorJabbour, Mira
dc.date.accessioned2011-03-16T18:18:32Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2011-03-16T18:18:32Z
dc.date.issued2010-11-04
dc.date.submitted2010-05
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/4707
dc.subjectVieillissementen
dc.subjectPersonnes âgéesen
dc.subjectAlimentationen
dc.subjectFacteurs de risqueen
dc.subjectEnquêtes nutritionnellesen
dc.subjectNuAgeen
dc.subjectAgingen
dc.subjectOlder adultsen
dc.subjectDieten
dc.subjectRisk factorsen
dc.subjectNutrition surveysen
dc.subjectNuAgeen
dc.subject.otherHealth Sciences - Nutrition / Sciences de la santé - Alimentation et nutrition (UMI : 0570)en
dc.titleLes facteurs ayant une influence négative sur la qualité alimentaire chez les personnes âgées vivant dans la communauté au Québecen
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineNutritionen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sen
etd.degree.nameM. Sc.en
dcterms.abstractAu Canada, la proportion de la population âgée de 65 ans et plus a augmenté depuis 1980. Bien que la dénutrition ne soit pas inévitable avec le vieillissement, certains changements et facteurs physiopathologiques, environnementaux et psycho socio-économiques peuvent entraîner une détérioration des choix alimentaires et donc, de la qualité de vie des aînés [1]. Plusieurs études font le lien entre l’état nutritionnel et la morbidité ainsi qu’avec les capacités fonctionnelles [2]. Ces observations expliquent l'intérêt de la prévention et du traitement de la dénutrition afin d’optimiser la prise alimentaire et un meilleur état de santé de cette population. Objectifs :1) Explorer les barrières individuelles et socio-environnementales, réelles et perçues, qui peuvent mener à la détérioration des choix et de la qualité alimentaires et entraîner une dénutrition chez les personnes âgées vivant à domicile. 2) Examiner la distribution de ces facteurs dans la population à l’étude. 3) Étudier la relation entre ces facteurs afin de dresser un portrait plus éclairé des déterminants négatifs de l’alimentation chez les adultes âgés pour mieux comprendre les barrières à la prise alimentaire saine. Méthodologie : Il s'agit d'une analyse secondaire réalisée à partir des données recueillies auprès des participants (n=1 602), âgés entre 67 et 84 ans,de l’Étude longitudinale québécoise sur la nutrition et le vieillissement réussi (NuAge) débutée en 2003 et dont le suivi était prévu sur cinq ans [3]. Le but principal de NuAge était de déterminer le rôle de la nutrition dans l’accomplissement d’un vieillissement réussi. Les données comprennent des mesures socio-démographiques, nutritionnelles, fonctionnelles, sociales de même que biologiques et médicales. À partir d'un modèle théorique des déterminants de la prise alimentaire chez la population âgée, ces données ont été mises en lien avec la qualité alimentaire. Cette dernière a été déterminée selon l’adaptation canadienne de l’indice d’alimentation saine (C-HEI), calculé à partir des données alimentaires et nutritionnelles obtenues par le questionnaire de fréquence alimentaire administré aux participants au T1, soit à leur entrée dans l'étude. Résultats : Les barrières qui pourraient freiner la qualité alimentaire des femmes incluent un statut affectif fragile et un fonctionnement social limité. Ce qui ressort, comme étant des barrières au C-HEI chez les hommes, est un revenu perçu comme étant insuffisant pour satisfaire les besoins, le port de prothèses dentaires et le fait de manger souvent au restaurant. Étonnamment, le nombre d’attitudes positives relatives à l’alimentation et un score plus élevé de la composante mentale du SF-36 prédisent un C-HEI plus faible. La nature des réponses auto rapportées pourrait expliquer ces résultats. Conclusion : Les résultats de cette recherche permettent de mieux comprendre les barrières d’une saine alimentation au sein d’une population bien-portante. Il est souhaité que les résultats contribueront au développement d’interventions efficaces ciblant les personnes âgées pour favoriser un apport nutritionnel et un état de santé optimal.en
dcterms.abstractIn Canada, the proportion of the population aged 65 and over has increased since 1980. Although under nutrition is not inevitable with aging, some changes and physiological factors, environmental and psycho-socio-economic conditions may cause deterioration in food choices and in the quality of life of seniors [1]. Several studies show the link between nutritional status and morbidity as well as functional capacity [2]. These observations justify the importance of prevention and treatment of under nutrition so as to optimize food intake and improve the health of this population. Objectives : 1) Exploring individual and socio-environmental barriers, whether it is real or perceived that may lead to deterioration of choices and quality food and cause under nutrition in the elderly living at home. 2) Examine the connection of these factors in the population being studied. 3) Examine the relationship between these factors so as to be knowledgeable about the negative determinants of nutrition in older adults to better understand the barriers to a healthy food intake. Methodology: This is a secondary analysis conducted using data collected from participants (n = 1 602), aged between 67 and 84 years in the Quebec’s Longitudinal Study on Nutrition and successful aging (NuAge) that began in 2003 with follow-ups planned over the following five years [3]. The main goal of NuAge was to determine the role of nutrition in the achievement of successful aging. The data include nutritional, functional, social, medical and biological measurements. From a theoretical model of determinants of food intake in the elderly population, these data have been linked to food quality. This was determined by the Canadian adaptation of the Healthy Eating Index (C-HEI) calculated from data of food and nutrition obtained by food frequency questionnaire administered to participants at T1 or their entry into the study. Results : The barriers that might inhibit food quality in women include a fragile emotional status and limited social functioning. What emerges as barriers of the C-HEI among men is an income considered insufficient to meet one’s needs, the use of dentures and eating at restaurant repeatedly. Surprisingly, the number of positive attitudes about nutrition and a higher score of the mental component of SF-36 are predictors of a lower C-HEI. The nature of self-reported responses could explain these results. Conclusion : The results of this research allow the better understanding of the barriers to healthy eating within a healthy community-dwelling elderly population. It is hoped that the results will contribute to the development of effective interventions targeting the older population to promote nutritional and optimal health.en
dcterms.languagefraen


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