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dc.contributor.advisorEarls, Christopher M.
dc.contributor.advisorCrocker, Anne
dc.contributor.authorBraithwaite, Erika
dc.date.accessioned2011-02-18T15:36:46Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2011-02-18T15:36:46Z
dc.date.issued2011-01-06
dc.date.submitted2010-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/4619
dc.subjectPsychopathieen
dc.subjectTrouble de personnalité antisocialen
dc.subjectTrouble mental graveen
dc.subjectCriminalitéen
dc.subjectPsychopathyen
dc.subjectAntisocial personality disorderen
dc.subjectCriminal historyen
dc.subjectSevere mental illnessen
dc.subject.otherPsychology - Personality / Psychologie - Personnalité (UMI : 0625)en
dc.titleExamining the incremental validity of psychopathy versus antisocial personality disorder in understanding patterns of criminal behavioren
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePsychologieen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sen
etd.degree.nameM. Sc.en
dcterms.abstractLa psychopathie et le trouble de personnalité antisociale sont deux syndromes reliés qui ont été identifiés comme prédicteurs importants de comportements violents et de criminalité. Cependant, la recherche indique que les facteurs de la psychopathie centrés sur la personnalité ne sont pas des prédicteurs fiables de récidive violente chez les personnes atteintes de maladies mentales. Toutefois, peu d’études se sont centrées sur l’identification des facteurs associés au patron des antécédents criminels. Les 96 hommes de l’étude ont été déclarés non criminellement responsables en raison de troubles mentaux. Ils ont été évalués quant au trouble de la personnalité antisociale ainsi qu’à la psychopathie. Les dossiers criminels de la Gendarmerie Royale du Canada ont également été consultés afin de reconstituer l’histoire criminelle. Les résultats suggèrent que ni les traits de personnalité antisociaux, ni les facteurs de la psychopathie ne démontrent une validité prédictive incrémentielle les uns sur les autres quant au nombre ou à la sévérité des délits. La présence d’un grand nombre de traits antisociaux est associée à un plus grand nombre et à une plus importante sévérité d’actes criminels non-violents. Les résultats sont discutés en termes de l’utilité d’une classification du trouble de personnalité antisociale, et de la pertinence du construit de la psychopathie pour les personnes atteintes de maladies mentales graves.en
dcterms.abstractPsychopathy and antisocial personality disorder are two related yet clinically distinct syndromes both coined as important predictors of violence and criminality. Among the mentally ill, there is increasing evidence that only the behavioral aspects of psychopathy are related to criminality. Studies have shown that the personality-oriented facets of psychopathy add little to the prediction of future violence among the mentally ill. However, few studies have sought to examine whether a lifetime of crime shows the same pattern. A total of 96 men who had been declared not criminally responsible on account of mental disorder participated in this study. Trained interviewers assessed antisocial personality and psychopathy among participants. Official RCMP criminal records were consulted in order to ascertain criminal history. Results suggest that neither antisocial personality disorder traits nor psychopathy facets evidenced incremental validity one over the other regarding a lifetime pattern of offending. A higher number of antisocial traits were related to a greater number and higher severity of non-violent offenses. Results are discussed with regards to the usefulness of the antisocial personality disorder classification, and the applicability of conceptual models of psychopathy to individuals with a severe mental illness.en
dcterms.languageengen


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