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dc.contributor.authorMailhot, Tanya
dc.contributor.authorBaelen, Sophie
dc.contributor.authorMaheu-Cadotte, Marc-André
dc.contributor.authorFontaine, Guillaume
dc.contributor.authorCossette, Sylvie
dc.contributor.authorLavoie, Patrick
dc.date.accessioned2023-09-11T13:26:33Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2023-09-11T13:26:33Z
dc.date.issued2023-07-19
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/28651
dc.publisherAssociation des infirmières et infirmiers d’urgence du Québecfr
dc.rightsAttribution 4.0 International (CC BY 4.0)
dc.rights.urihttps://creativecommons.org/licenses/by/4.0/deed.fr
dc.titlePrise en charge du délirium chez les personnes âgées à l’urgencefr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des sciences infirmièresfr
dc.identifier.doi10.7202/1101856ar
dcterms.abstractPour une majorité de personnes âgées, le département d’urgence représente la principale porte d’entrée pour des soins de santé. Lorsqu’elles arrivent à l’urgence, dix pour cent des personnes âgées présentent déjà un délirium. De plus, près de 30 % des personnes âgées développent un délirium durant leur séjour à l’urgence. Cela fait donc du département d’urgence un lieu clé dans la détection des atteintes cognitives auxquelles les personnes âgées sont vulnérables. Des maladies infectieuses, telles que la maladie à coronavirus (COVID-19), favorisent d’ailleurs l’apparition d’un délirium chez les personnes âgées. Le délirium complique leur rétablissement en causant des atteintes fonctionnelles et cognitives en plus d’augmenter significativement leur risque de mortalité. À ce titre, il est essentiel de détecter rapidement le délirium et de mettre en place des interventions pour en diminuer les effets délétères. Les infirmiers et les infirmières offrant des soins dans les départements d’urgence sont donc les professionnels de la santé les mieux positionnés pour détecter précocement cette maladie et intervenir, puisqu’ils ont un rôle d’évaluation de l’état de santé physique et mental et assurent une présence au chevet 24 heures sur 24. Dans le présent article, nous discutons des outils pouvant soutenir la détection du délirium par les infirmiers et infirmières des départements d’urgence ainsi que des interventions pour le prévenir ou en diminuer les effets délétères.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:2816-6892fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:2816-6906fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.ReferenceFournieParDeposantMailhot, T., Baelen-Kontar, S., Maheu-Cadotte, M-A., Fontaine, G., Cossette, S., Lavoie, P. (2020) Prise en charge du délirium chez les personnes âgées à l’urgence. Soins d’urgence – AIIUQ. 2. https://aiiuq.qc.ca/wp-content/uploads/2020/11/NOVEMBRE-RevueAIIUQ-d%C3%A9lirium.pdffr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Recordfr
oaire.citationTitleSoins d’urgencefr
oaire.citationVolume1fr
oaire.citationIssue2, automne 2020fr
oaire.citationStartPage43fr
oaire.citationEndPage51fr


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