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dc.contributor.advisorLegendre, Claire
dc.contributor.advisorLapointe, Martine-Emmanuelle
dc.contributor.authorMarchand, Déric
dc.date.accessioned2019-05-27T14:20:30Z
dc.date.availableMONTHS_WITHHELD:60fr
dc.date.available2019-05-27T14:20:30Z
dc.date.issued2019-03-13
dc.date.submitted2018-09
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/22002
dc.subjectmythologie familialefr
dc.subjectroman d’apprentissagefr
dc.subjectLarry Tremblayfr
dc.subjectradicalisationfr
dc.subjectfratriefr
dc.subjectfamily mythologyfr
dc.subjectBildungsromanfr
dc.subjectLarry Tremblayfr
dc.subjectradicalizationfr
dc.subjectQuebec literaturefr
dc.subject.otherLiterature - Canadian / Littérature - Canadienne (UMI : 0355)fr
dc.titleMoïse Moïse ; suivi de Au nom de nous qui ne sommes pasfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineLittératures de langue françaisefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractLe narrateur du roman Moïse Moïse, Nathan Mausus, grandit au sein d’une famille québécoise déchirée et superstitieuse, mais une figure se démarque à l’intérieur de la cellule familiale : Moïse, de dix ans son frère aîné. Modèle à suivre pour le narrateur et personnage érudit qui contraste avec le reste de la famille Mausus, Moïse brille par son absence. S’il apparaît d’abord comme le personnage le plus sensé dans l’univers de l’enfant, Moïse souffre à l’adolescence d’épisodes psychotiques. Après un séjour à l’hôpital, il quitte le Québec pour étudier à New York, avant d’entamer un tour du monde. Au bout d’un exil de quinze ans, il revient au Québec, transformé et radicalisé. Le roman Moïse Moïse s’inscrit dans les courants du récit d’apprentissage et du portrait de famille, mais entend en détourner les codes. Il questionne au passage la mythologie familiale, les rites initiatiques et la pauvreté liée au territoire, et interroge la porosité entre folie et radicalisation. Au nom de nous qui ne sommes pas vise à déterminer le rôle de l’identité au sein du processus de radicalisation des personnages dans le roman L’orangeraie (2013) de Larry Tremblay. Pour ce faire, l’essai se fonde sur l’analyse du discours et l’appropriation de concepts sociologiques et philosophiques empruntés à Benedict Anderson, René Girard et Paul Ricœur. La première partie examine deux communautés, l’une réelle et l’autre fantasmée, là où la seconde s’interroge sur la valeur de l’individu dans une société dominée par la collectivité. L’écart entre les deux communautés apparaît comme un point de rupture essentiel, d’où émerge une légitimation du sacrifice. À partir de cette idée, il est possible de comprendre en quoi la mythologie familiale, le processus de transmission, la religion instituée dans le récit, l’individualité et la gémellité participent de la radicalisation dans le roman de Larry Tremblay.fr
dcterms.abstractThe narrator of the novel Moïse Moïse, Nathan Mausus, grows up in a torn and superstitious Quebec family where only one figure stands out: Moïse, his older brother. A role model for the narrator and a scholar who contrasts with the rest of the Mausus family, Moïse shines through his absence. At first appearing as the sanest person in the child’s world, Moïse ends up suffering psychotic episodes. After a stay in hospital, he leaves Quebec to study in New York, before embarking on a journey across the globe. After a fifteen-year exile, he returns to Quebec, transformed and radicalized. Moïse Moïse is a novel of personal formation as well as a family portrait but it intends to divert the codes associated with these. It questions family mythology; initiatory rites, poverty associated to the territory, and evaluates porosity between madness and radicalization. Au nom de nous qui ne sommes pas aims to determine the role of identity within the characters radicalization process in the novel L'orangeraie (2013) by Larry Tremblay. To do so, this essay bases itself upon discourse analysis and the appropriation of sociological and philosophical concepts borrowed from Benedict Anderson, René Girard and Paul Ricœur. The first part examines two communities, one real and the other imagined, while the second considers an individual’s value in a society dominated by the collective. The gap between the two communities appears as an essential break-point, from which emerges a legitimization of sacrifice. From this idea, it is possible to understand how family mythology, the process of transmission, the religion instituted in the narrative, individuality and twinship are part of radicalization in Larry Tremblay's novel.fr
dcterms.descriptionMémoire en recherche-création. Codirection.fr
dcterms.languagefrafr


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