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dc.contributor.advisorLoewen, Brad
dc.contributor.authorBourgela, Samuel
dc.date.accessioned2019-04-18T16:48:48Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-04-18T16:48:48Z
dc.date.issued2019-03-13
dc.date.submitted2018-07
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/21572
dc.subjectVille-Mariefr
dc.subjectMontréalfr
dc.subjectArchéologiefr
dc.subjectCéramiquefr
dc.subjectBordeauxfr
dc.subjectLa Rochellefr
dc.subjectNormandiefr
dc.subjectRéseaux maritimesfr
dc.subjectRéseaux d'échangesfr
dc.subjectportfr
dc.subjectOcéan Atlantiquefr
dc.subjectCeramicsfr
dc.subjectArchaeologyfr
dc.subjectMaritime networkfr
dc.subjectTrade networkfr
dc.subjectHarbourfr
dc.subjectAtlantic seafr
dc.subject.otherAnthropology - Archaeology / Anthropologie - Archéologie (UMI : 0324)fr
dc.titleLes céramiques et les réseaux maritimes du fort de Ville-Marie, Montréal, 1642-1688fr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineAnthropologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractCe mémoire s’intéresse aux réseaux maritimes transatlantiques du XVIIe siècle tels qu’ils sont mis en évidence par les céramiques retrouvées sur le lieu de fondation de Montréal, le fort de Ville-Marie (BjFj-101). À travers le jeu de provenances des céramiques découvertes, ce mémoire vise à mieux comprendre l’organisation et les mécanismes d’approvisionnement et de commerce du fort de Ville-Marie. À l’étude sont les terres cuites communes, les faïences et les grès grossiers découverts dans les contextes de 1642 à 1688 au fort de Ville-Marie. Les céramiques retrouvées sur les sites coloniaux de la Nouvelle-France sont souvent identifiées selon leur lieu de production, qui est lié à un port océanique en France (ou en Nouvelle-France) et témoignent alors du rayonnement commercial de ce port à travers l’Atlantique. Ainsi, les céramiques donnent un accès privilégié aux réseaux maritimes qui se déploient à partir de chacun des ports océaniques, et de leur évolution au cours du XVIIe siècle. Les contextes de découverte sur le site du fort de Ville-Marie se divisent en deux grandes phases, de 1642 à 1674, et de 1674 à 1688. Ce découpage temporel correspond aussi à des différences céramiques, permettant de proposer une évolution des réseaux maritimes en lien avec Ville-Marie au cours du premier demi-siècle de la colonie montréalaise. L’analyse fonctionnelle des objets ainsi que leur analyse contextuelle, au sein du fort de Ville-Marie, révèlent également des différences entre les réseaux maritimes à l’œuvre. Les résultats ont démontré l’importance des ports du Sud-Ouest de la France, de Bordeaux et de La Rochelle, de la Normandie ainsi que de l’influence limitée de l’Europe et de l’artisanat colonial dans l’approvisionnement de la Nouvelle-France. Les provenances des céramiques permettent également de confronter les données archéologiques et les recherches historiques, dévoilant, entre autres, que les circuits marchands bordelais étaient plus importants que ceux de La Rochelle dans l’approvisionnement de la colonie montréalaise du XVIIe siècle.fr
dcterms.abstractThis thesis examines the transatlantic networks that supplied Montréal’s seventeenth-century foundation site (BjFj-101) also known as the fort of Ville-Marie. By studying the provenances of the coarse earthenware, faience and coarse stoneware found in the site’s 1642-1688 contexts, the thesis aims to understand how the supply and trade of fort Ville-Marie were organised. The numerous ceramics discovered on New France’s colonial sites are often identified by their production centre. These production centres in France or New France were linked to a particular sea port and the ceramics thus attest to each port city’s commercial influence throughout the French Atlantic. The ceramics from the sealed contexts of Ville-Marie’s fort provide an original database from which we can examine these ports fluvial and maritime networks and their evolution over the course of the 17th century. The site’s various contexts of discovery can be divided into two phases, the first from 1642 to 1674 and the second from 1674 to 1688. These chronological intervals also correspond with differences in the ceramic record and indicate an evolution of Ville-Marie’s fluvio-maritime supply network during its first half-century of existence. The functional and contextual analysis of the ceramics during each interval also reveals the workings and specialisations of several different maritime networks. Our results show the great importance of the Southwestern ports of France, (Bordeaux and La Rochelle), Normandy and also of the more limited influence of other European regions as well as the potters of New France. The origins of these ceramics also shed new light on historical data, especially showing that the city of Bordeaux had a sturdier hold than La Rochelle on the supply lines of 17th-century Montreal.fr
dcterms.languagefrafr


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