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dc.contributor.authorPiché, Claude
dc.date.accessioned2019-04-08T12:55:02Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-04-08T12:55:02Z
dc.date.issued1999
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/21525
dc.publisherPhilosophy Documentation Centerfr
dc.subjectFichtefr
dc.subjectKantfr
dc.subjectNapoléonfr
dc.subjectAuto-affirmationfr
dc.subjectBöse/Übelfr
dc.subjectIgnorancefr
dc.subjectParessefr
dc.subjectSelf-assertionfr
dc.subjectLazinessfr
dc.titleLe mal radical chez Fichte entre Kant et Schellingfr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dc.identifier.doi10.5840/symposium19993229
dcterms.abstractDans cet article, je soumets à une discussion critique deux thèses à propos du mal radical chez Fichte : 1- la thèse selon laquelle sa conception ne serait pas foncièrement différente de celle de Kant (position défendue par A. Soller et M. Ivaldo) et 2- la thèse selon laquelle c’est seulement après l’arrivée au pouvoir de l’empereur Napoléon, incarnant l’auto-affirmation absolue du libre arbitre, que la position de Fichte se serait rapprochée de la conception kantienne (R. Lauth). Or je marque mes distances face à ces deux thèses en insistant sur le fait que, tout au long de sa carrière, Fichte a défendu une conception du mal radical, qu’il appelle d’ailleurs de manière très révélatrice « radikales Übel », fondée sur l’inertie et l’ignorance.fr
dcterms.abstractIn this article, I submit to critical analysis two theses concerning radical evil in Fichte: 1- the thesis according to which his conception would not fundamentally differ from Kant’s position (a thesis defended by A. Soller and M. Ivaldo) and 2- the thesis according to which it is only after the seizure of power by the emperor Napoléon, representing the absolute self-assertion of the free will, that Fichte’s position would have come closer to Kant’s (R. Lauth). I would like to distance myself from both theses by stressing the fact that all through his career Fichte has been the proponent of a conception of radical evil, that he revealingly calls “radiakles Übel,” based on inertia and ignorance.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:2154-5278fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1917-9685fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.ReferenceFournieParDeposantISSN 1480 2333 (Romeo donne plutôt ISSN 1917-9685), vol. 3, no. 2, Automne 1999, p. 209-231.fr
UdeM.VersionRioxxVersion acceptée / Accepted Manuscriptfr
oaire.citationTitleSymposium : Canadian journal of continental philosophy
oaire.citationVolume3
oaire.citationIssue2
oaire.citationStartPage209
oaire.citationEndPage231


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