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dc.contributorGoyard-Fabre, Simone
dc.contributorFerrari, Jean
dc.contributor.authorPiché, Claude
dc.date.accessioned2019-03-14T14:23:23Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-03-14T14:23:23Z
dc.date.issued2000
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/21497
dc.publisherLibrairie philosophique J. Vrinfr
dc.subjectKantfr
dc.subjectSchillerfr
dc.subjectDidactiquefr
dc.subjectAscétiquefr
dc.subjectMéthode socratiquefr
dc.subjectAffectsfr
dc.subjectDidacticfr
dc.subjectAsceticfr
dc.subjectSocratic methodfr
dc.titleLa méthodologie éthique de Kantfr
dc.typeChapitre de livre / Book chapterfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dcterms.abstractLa question se pose de savoir si c’est par un simple souci architectonique que Kant a joint à sa Doctrine de la vertu de 1797 une « Méthodologie », sans par ailleurs être convaincu de la valeur intrinsèque de cette dernière section consacrée à la Didactique et à l’Ascétique. Or nous tentons de montrer ici au contraire que Kant introduit des développements tout à fait pertinents pour son éthique en regard d’une méthode catéchistique mixte misant à la fois sur l’approche socratique et sur une mémorisation scrupuleuse des principes éthiques. En ce qui a trait à l’ascétique, on dénote un progrès, par rapport aux écrits fondateurs des années 1780, dans l’appréciation du rôle de la sensibilité en morale, Kant faisant écho à la critique que lui avait adressée Schiller et à laquelle la Religion (1793) avait déjà livré une esquisse de réponse. L’ascétique kantienne n’a en vérité rien de « monacal ».fr
dcterms.abstractThis article raises the following question : Is it because of a mere architectonic concern that Kant closes his Doctrine of Virtue of 1797 with a “Doctrine of Method,” without however being convinced of the intrinsic value of this last section devoted to the ethical Didactic and Ascetic? My answer is no and I would like to argue that Kant on the contrary introduces here highly relevant developments for his ethics, namely regarding a mixed catechistic method based on a Socratic approach as well as on a careful memorizing of the ethical principles. With regard to ascetic on the other hand, we notice a progress over the founding works of the 1780s concerning the role of sensibility in morals. In fact Kant takes into account Schiller’s criticism and reiterates the answer he had briefly sketched in his Religion (1793). Kantian ascetic can in no way be depicted as “monastic.”fr
dcterms.descriptionCeci est une version de travail (prépublication)fr
dcterms.isPartOfurn:ISBN:9782711614486fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.ReferenceFournieParDeposantISBN 2-7116-1448-4, p. 109-121.fr
oaire.citationTitleL'année 1797 : Kant, la métaphysique des mœurs
oaire.citationStartPage109
oaire.citationEndPage121


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