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dc.contributor.authorRoy, Marie-Maude
dc.date.accessioned2018-11-07T19:49:27Z
dc.date.available2018-11-07T19:49:27Z
dc.date.issued2018-12-01
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/21058
dc.publisherSociété Philosophique Ithaque
dc.rightsCe texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada.
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr
dc.titleRégressions et structure : deux enjeux pour la théorie matérielle de l’inductionfr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dcterms.abstractBien que particulièrement en phase avec une partie importante de la pratique en sciences, la théorie matérielle de l'induction proposée par Norton peut être confrontée à deux enjeux majeurs. Le premier concerne les chaînes de justification régressives, dont l'historique est indéterminé. La difficulté de situer ces terminaisons renvoie directement au problème de l'induction. Le deuxième porte plutôt sur la nouvelle forme que prennent les inférences inductives justifiées conformément à la théorie. Il sera défendu ici que l'approche matérialiste permet de contourner le problème traditionnel de l'induction en transformant la structure de l'inférence, mais que ceci n'est pas possible dans tous les cas.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1703-1001
dcterms.languagefrafr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Recordfr
oaire.citationTitleIthaque
oaire.citationIssue23
oaire.citationStartPage31
oaire.citationEndPage47


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