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dc.contributor.authorPoissant, Hélène
dc.date.accessioned2018-10-10T16:19:24Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2018-10-10T16:19:24Z
dc.date.issued1981-12-15
dc.date.submitted1981-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/20996
dc.subjectConnaissance, Psychologie de lafr
dc.subjectMontagnais Indiansfr
dc.subjectIndiens d'Amérique -- Amérique du Nord -- Folklorefr
dc.subjectMontagnais (Indiens) -- Folklorefr
dc.subjectIndians of North America -- Legendsfr
dc.subjectIndians of North America -- Folklorefr
dc.subjectIndiens d'Amérique -- Amérique du Nord -- Légendesfr
dc.subjectIndiens d'Amérique -- Amérique du Nord -- Mythologiefr
dc.titleCorrélats cognitifs des structures d'un conte et d'un mythe chez les indiens Montagnaisfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePsychologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréal
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractL’expérience présente se déroule sur trois réserves indiennes situées sur la Cote Nord du Québec. Huit sujets montagnais unilingues effectuent le rappel de deux types d’histoires: un conte de fées gaspésien et un mythe indien dans un ordre contrebalancé. Les données antérieures recueillies auprès de sujets américains démontrent des différences de rappel entre le mythe et le conte de fées lorsque ceux-ci sont envisagés en terme d’intrigue, le rappel de la trame du mythe contient plusieurs manques par rapport au rappel de la trame du conte de fées. Toutefois, il n’y a pas de différence entre les rappels lorsque les récits sont considérés au niveau de la structure de surface. La présente expérience, qui est une contrepartie des expériences effectuées auprès de sujets occidentaux, confirme (de façon inversée) les données précédentes. Ainsi, les sujets montagnais se rappellent d’un nombre supérieur d’éléments de la trame du mythe celui de la trame du conte de fées. Ce résultat est en accord avec la théorie qui stipule que la compréhension et le rappel d’histoire sont facilités par la possibilité d’avoir recours à un schéma d’histoire adéquat, lequel est conditionné culturellement. L’expérience actuelle qui a aussi investigué des niveaux plus élevés de la structure de fond, les microcatégories, montre que le rappel du mythe paraît mieux structuré que celui du conte de fées, ce qui reflète une meilleure compréhension des sujets face au mythe indien.fr
dcterms.descriptionMémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
dcterms.languagefrafr


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