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dc.contributor.advisorTanner, Samuel
dc.contributor.authorChevrette, Rosalie
dc.date.accessioned2017-11-02T15:30:10Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2017-11-02T15:30:10Z
dc.date.issued2017-05-01
dc.date.submitted2016-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/19524
dc.subjectRadicalisationfr
dc.subjectRadicalizationfr
dc.subjectCVEfr
dc.subjectPréventionfr
dc.subjectRecherche d'aidefr
dc.subjectSignalementfr
dc.subjectCommunautéfr
dc.subjectHelp-seekingfr
dc.subjectReportingfr
dc.subjectCommunityfr
dc.subject.otherSociology - Criminology and Penology / Sociologie - Criminologie et établissements pénitentiaires (UMI : 0627)fr
dc.titleLa volonté du public à contacter le Centre de prévention de la radicalisation menant à la violence : une analyse des enjeux à la recherche d’aide pour un proche radicaliséfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineCriminologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractLes communautés sont des acteurs de premier plan dans les efforts de prévention de la radicalisation. En effet, la famille et les amis sont parmi les premiers à pouvoir observer certains comportements laissant présager l’adhésion à une forme d’extrémisme violent. Néanmoins, nous n’en savons encore que très peu quant au point de vue des communautés relativement au fait de contacter une ressource formelle ou informelle pour un cas de radicalisation. Cette étude s’intéresse alors à mieux comprendre les enjeux qui influencent la volonté de contacter le Centre de prévention de la radicalisation menant à la violence (CPRMV), un organisme indépendant de la police, pour un proche dans une situation de radicalisation. Pour ce faire, nous avons réalisé des entretiens et des focus group menés auprès de 29 individus habitant le Grand Montréal et s’identifiant soit en tant que Québécois, Juif, Musulman, Latino-Américain ou Africain. Les résultats suggèrent la présence d’une multitude d’enjeux à la prise de contact avec une ressource ; certains ayant été identifiés par la majorité des participants, alors que d’autres semblent être plutôt propres à une communauté particulière. Parmi les résultats partagés par l’ensemble des répondants, il a été possible d’observer que la méconnaissance des ressources disponibles et la crainte des répercussions apparaissent comme des enjeux centraux. De plus, les résultats suggèrent que les participants entrevoient la radicalisation comme un phénomène essentiellement lié à l’islam, ce qui pourrait être expliqué par l’influence des représentations véhiculées par les médias, et qui pourrait conséquemment avoir une incidence sur la manière de comprendre et d’identifier un cas de radicalisation. Enfin, la zone grise que représentent les comportements associés à la radicalisation semble poser problème dans l’évaluation de la gravité de la situation et ultimement la décision de faire appel à une ressource d’aide, telle que le CPRMV, ou à la police.fr
dcterms.abstractCommunities are key players in efforts to prevent radicalization. In fact, family members and friends are among the first to observe changes or early signs suggesting that someone might be heading toward a form of violent extremism. Yet, we still know very little about communitybased views on reaching out to a formal or informal resource regarding a possible case of radicalization. This study seeks to better understand the issues that influence the willingness to contact the Center for the Prevention of Radicalization leading to Violence (CPRLV), a Montreal-based independent organization. For this purpose, we conducted interviews and focus groups with 29 individuals living in Greater Montreal, who self-identify as Quebecers or as Jewish, Muslim, Latin American or African. The results suggest the presence of a multitude of issues inhibiting reaching out to a specific resource; while some have been identified by most participants, others seem to be rather specific to a community. Among the results shared by all respondents, it has been observed that the lack of knowledge of available resources and the fear of repercussions appear to be central issues. Moreover, the results suggest that the participants perceive radicalization as a phenomenon essentially linked to Islam, which could be explained by the influence of media representation of the issue and could consequently have an impact on their way of understanding and identifying a radicalization-prone case. Finally, the gray area surrounding the behaviors associated with radicalization appears to be a problem in assessing the severity of the situation and ultimately the decision to reach out to an aid resource, such as the CPRLV, or the police.fr
dcterms.languagefrafr


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