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dc.contributor.advisorDragomir, Elena Alice
dc.contributor.advisorPerreault, Sylvie
dc.contributor.authorLahcene, Halima
dc.date.accessioned2017-10-24T15:23:47Z
dc.date.availableMONTHS_WITHHELD:60fr
dc.date.available2017-10-24T15:23:47Z
dc.date.issued2017-10-03
dc.date.submitted2017-04
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/19454
dc.subjectCancer de la prostate résistant à la castration métastatiquefr
dc.subjectAbirateronefr
dc.subjectDocetaxelfr
dc.subjectEnzalutamidefr
dc.subjectThérapie osseusefr
dc.subjectÉtude en contexte réelfr
dc.subjectUsage des médicamentsfr
dc.subjectMetastatic castration-resistant prostate cancerfr
dc.subjectBone-targeted therapyfr
dc.subjectReal-world studyfr
dc.subjectDrug utilizationfr
dc.subject.otherHealth Sciences - Oncology / Sciences de la santé - Oncologie (UMI : 0992)fr
dc.titleCancer de la prostate résistant à la castration métastatique : utilisation des nouveaux traitements dans un contexte réel au Québecfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineSciences pharmaceutiquesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractIntroduction : Depuis 2004, la chimiothérapie à base de docetaxel est la pierre angulaire dans le traitement du cancer de la prostate résistant à la castration métastatique (CPRCm). À partir de 2011, d’autres alternatives thérapeutiques ont été approuvées par Santé Canada pour ces patients, comme l’abiraterone et l’enzalutamide pour utilisation après le docetaxel et plus récemment pour utilisation avant docetaxel (depuis 2013). L’objectif primaire de ce projet était de décrire l’usage du docetaxel, de l’abiraterone (et de l’enzalutamide) au Québec et ses déterminants. L’objectif secondaire était de décrire l’usage des thérapies osseuses (le dénosumab et l’acide zolédronique) chez les patients souffrant du CPRCm et ses déterminants. Méthodes : Une étude de cohorte rétrospective descriptive a été menée. Les patients traités pour le cancer de la prostate entre le 1e janvier 2010 et le 30 juin 2014 dans deux hôpitaux académiques de l’Université McGill ont été sélectionnés à partir de leurs registres des cancers. Par la suite, les patients atteints de CPRCm ont été sélectionnés. Des informations générales et démographiques ainsi que des informations précises sur la phase du CPRCm et ses traitements ont été colligées à partir des dossiers médicaux des patients jusqu’au 10 mai 2016. La cohorte à l’étude a été divisée en deux groupes selon la période de diagnostic du CPRCm. La date de l’ajout de l’abiraterone (et du dénosumab) à la liste de médicaments d’exception remboursés par le régime général d’assurance médicaments du Québec (le 1e février 2012) a été utilisée comme date de coupure. Des statistiques descriptives ont été utilisées pour décrire l’utilisation du docetaxel, de l’abiraterone, de l’enzaluatamide, du dénosumab et de l’acide zolédronique. La méthode de Kaplan-Meier et le test du Logrank ont été utilisés pour estimer le temps jusqu’à avoir une première ordonnance du docetaxel et des thérapies osseuses. Par ailleurs, la régression multivariée de Cox a permis d’identifier les déterminants de l’usage du docetaxel, de l’abiraterone (ou de l’enzalutamide) et des thérapies osseuses. Résultats : Dans notre cohorte, 308 patients atteints du CPRCm ont été sélectionnés avec 162 patients (53 %) diagnostiqués avec le CPRCm avant le 1e février 2012 et 146 patients (47 %) diagnostiqués avec le CPRCm après le 1e février 2012. L’âge ii médian au diagnostic du CPRCm était de 74,0 ans. Globalement, 82 % des patients diagnostiqués avant 2012 ont eu docetaxel, 53 % ont eu abiraterone et 54% ont eu abiraterone ou enzalutamide comparativement à 53 %, 74 % et 86 %, respectivement, de ceux diagnostiqués après 2012. Les déterminants de l’usage global du docetaxel étaient la présence de métastases (osseuses et ganglionnaires, et viscérales) au diagnostic du CPRC, la référence à un oncologue avant le développement du CPRCm, avoir moins que 80 ans au diagnostic du CPRCm, être diagnostiqué avec le CPRCm avant 2012 et être symptomatique au diagnostic du CPRCm. Les déterminants de l’usage de l’abiraterone (ou de l’enzalutamide) étaient la présence de métastases (osseuses, ganglionnaires, et viscérales) au diagnostic du CPRC, la référence à un oncologue avant le développement du CPRCm, avoir plus que 80 ans au diagnostic du CPRCm, être diagnostiqué avec le CPRCm après 2012 et avoir des comorbidités cardiaques ou chroniques au diagnostic du CPRCm. Le temps médian avant une première ordonnance du docetaxel était retardé de six mois chez les patients diagnostiqués après 2012 par rapport à ceux diagnostiqués avant 2012 (p=0,0001). Parmi les patients ayant des métastases osseuses, 82 % ont eu au moins une ordonnance d’une thérapie osseuse (le dénosumab ou l’acide zolédronique). Les déterminants de l’usage des thérapies osseuses étaient d’avoir des métastases osseuses, d’être diagnostiqué avec le CPRCm après 2012 et d’être symptomatique au diagnostic du CPRCm. Conclusion : L’introduction de abiraterone (et de l’enzalutamide) a réduit l’utilisation globale du docetaxel et a prolongé le temps jusqu’à recevoir une ordonnance de celui-ci. Les déterminants de l’usage de ces traitements étaient l’étendue des métastases, l’âge au diagnostic du CPRCm, la période du diagnostic du CPRCm et la référence à un oncologue avant le développement du CPRCm. Par ailleurs, une proportion significative des patients avec un CPRCm a reçu une ordonnance d’une thérapie osseuse.fr
dcterms.abstractIntroduction: Since 2004, docetaxel-based chemotherapy has been the cornerstone of the management of metastatic castration-resistant prostate cancer (mCRPC). The therapeutic arsenal expanded in 2011 to involve several alternative drugs such as abiraterone and enzalutamide for use in docetaxel-refractory patients and then in docetaxel-naïve ones (since 2013). This study aimed to describe docetaxel, abiraterone (and enzalutamide) use and its associated factors in Quebec. It also aimed to describe bone-targeted therapy (denosumab and zoledronic acid) utilization and its associated factors in mCRPC patients. Methods: A retrospective cohort study was conducted in two of the main McGill University hospitals. Hospital-based cancer registries were used to identify patients treated for prostate cancer in medical oncology departments between January 1, 2010 and June 30, 2014. Then patients with mCRPC were selected. Patients’ medical charts were reviewed and mCRPC clinical data and treatments were extracted until May 10, 2016. The cohort was divided into two groups according to mCRPC diagnosis period. The cutoff date chosen was February 1, 2012 as it corresponded to the public reimbursement of abiraterone (and denosumab) in Quebec. Descriptive statistics were used to describe docetaxel, abiraterone, enzalutamide, and bone-targeted therapy (denosumab and zoledronic acid) utilization. The Kaplan-Meier method and log-rank test were used to estimate time to receive a first prescription for docetaxel and bone-targeted therapy since mCRPC diagnosis. Cox regression was used to identify predictive factors of docetaxel, abiraterone (or enzalutamide), and bone-targeted therapy use. Results: In our cohort, 308 patients with mCRPC were selected with 162 patients (53%) diagnosed with mCRPC before February 1, 2012 (pre-2012 group) and 146 (47%) diagnosed with mCRPC after February 1, 2012 (post-2012 group). The median age at mCRPC was 74.0 years old. In the pre-2012 group, patients received following treatments: docetaxel 82%, abiraterone 53%, and abiraterone or enzalutamide 54% versus 53%, 74% and 86%, respectively, in the post-2012 group. Factors associated with docetaxel use were having metastases (bone and lymph nodes, and visceral) at CRPC diagnosis, referral to an oncologist before mCRPC development, being younger than 80 at mCRPC diagnosis, having symptoms at mCRPC diagnosis and being diagnosed with mCRPC before 2012. Factors associated with abiraterone (or enzalutamide) use were having metastases (bone, lymph nodes, and visceral) at CRPC diagnosis, referral to an oncologist before mCRPC development, being older than 80 at mCRPC diagnosis, having cardiac or chronic comorbidites at mCRPC diagnosis and being diagnosed with mCRPC after 2012. The median time to have a prescription for docetaxel was delayed by six months in patients diagnosed after 2012 comparatively to those diagnosed before 2012 (p=0.0001). Among patients with bone metastases, 82% had at least one prescription for a bone-targeted therapy (denosumab or zoledronic acid). Factors associated with bone-targeted therapy use were having bone metastases at CRPC diagnosis, being diagnosed with mCRPC after 2012 and having symptoms at mCRPC diagnosis. Conclusion: The introduction of abiraterone (and enzalutamide) reduced overall docetaxel utilization and delayed time to its initiation. Metastases extent, age, moment of diagnosis with mCRPC, and referral to an oncologist before mCRPC development were the predictive factors either docetaxel, abiraterone or enzalutamide utilization. Patients with mCRPC benefit from bone-targeted therapy (denosumab or zoledronic acid) for bone metastases.fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.ORCIDAuteurThese0000-0002-7276-2739fr


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