Afficher la notice

dc.contributor.advisorLalonde, Suzanne
dc.contributor.authorCardinal St-Onge, Stéphane
dc.date.accessioned2017-10-23T19:32:36Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2017-10-23T19:32:36Z
dc.date.issued2017-09-29
dc.date.submitted2017-04
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/19410
dc.subjectresponsabilité de protégerfr
dc.subjectsouveraineté étatiquefr
dc.subjectConseil de sécurité des Nations Uniesfr
dc.subjectprotection des populations civilesfr
dc.subjectCharte des Nations Uniesfr
dc.subjectautorisation de recourir à la forcefr
dc.subjectdroit de vetofr
dc.subjectdroit international publicfr
dc.subjectResponsibility to Protectfr
dc.subjectState Sovereigntyfr
dc.subjectUnited Nations Security Councilfr
dc.subjectProtection of civilian populationsfr
dc.subjectCharter of the United Nationsfr
dc.subjectAuthorization to use the forcefr
dc.subjectRight to Vetofr
dc.subjectPublic international lawfr
dc.subject.otherPolitical Science - International Law and Relations / Science politique - Droit et relations internationales (UMI : 0616)fr
dc.titleLes répercussions de la responsabilité de protéger sur le droit international publicfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineDroit internationalfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameLL. M.fr
dcterms.abstractLa responsabilité de protéger a été élaborée en 2001 par la Commission internationale de l’intervention et de la souveraineté des États. Le concept se voulait une réponse aux controverses suscitées par les interventions armées à des fins humanitaires menées dans les années 1990. Il cherchait à concilier l’intervention à des fins humanitaires et le principe de souveraineté afin d’assurer la protection universelle des populations civiles, notamment par les actions du Conseil de sécurité, tout en respectant les principes qui constituent les fondements de la société internationale basée sur la Charte des Nations Unies. Avec son entérinement par les 191 États membres des Nations Unies lors du Sommet mondial de 2005, la responsabilité de protéger est devenue un sujet incontournable du discours international. En 2011, la mise en œuvre de la responsabilité de protéger par le Conseil de sécurité durant la guerre civile en Libye et la crise postélectorale en Côte d’Ivoire a mis le concept au premier plan de l’actualité internationale. Notre mémoire cherche à déterminer les répercussions juridiques qu’a eues la responsabilité de protéger sur le principe de la souveraineté étatique et sur le fonctionnement institutionnel du Conseil de sécurité.fr
dcterms.abstractThe Responsibility to Protect was elaborated in 2001 by the International Commission on Intervention and State Sovereignty following the controversies surrounding humanitarian interventions lead during the 1990s. The Responsibility to Protect aimed at reconciling intervention for human protection purposes and sovereignty in order to ensure the universal protection of civilian populations, notably through the Security Council, while respecting the principles constituting the foundation of the international society based on the Charter of the United Nations. Since its acceptance by the 191 Member States of the United Nations during the 2005 World Summit, the concept has become a subject of first importance at the international stage. The implementation of the Responsibility to Protect by the Security Council in 2011 during the Civil War in Libya and the post-electoral crisis in Ivory Coast has put the concept on the headlines of the international news. Our thesis aims at determining the juridical repercussions that the Responsibility to Protect had on the State Sovereignty principle and on the institutional functioning of the Security Council.fr
dcterms.languagefrafr


Fichier·s constituant ce document

Vignette

Ce document figure dans la ou les collections suivantes

Afficher la notice

Ce document diffusé sur Papyrus est la propriété exclusive des titulaires des droits d'auteur et est protégé par la Loi sur le droit d'auteur (L.R.C. (1985), ch. C-42). Il peut être utilisé dans le cadre d'une utilisation équitable et non commerciale, à des fins d'étude privée ou de recherche, de critique ou de compte-rendu comme le prévoit la Loi. Pour toute autre utilisation, une autorisation écrite des titulaires des droits d'auteur sera nécessaire.