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dc.contributor.advisorPaquet, Suzanne
dc.contributor.authorDufort, Arnaud
dc.date.accessioned2017-05-25T18:12:26Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2017-05-25T18:12:26Z
dc.date.issued2017-03-28
dc.date.submitted2016-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/18741
dc.subjectArchitecturefr
dc.subjectExpositions universellesfr
dc.subjectModernitéfr
dc.subjectAvant-gardefr
dc.subjectParis 1925fr
dc.subjectParis 1937fr
dc.subjectWorld's fairsfr
dc.subjectModernityfr
dc.subjectVanguardfr
dc.subject.otherCommunications and the Arts - Art History / Communications et les arts - Histoire de l’art (UMI : 0377)fr
dc.titleDivergences et avant-garde : l’architecture moderne dans les expositions universelles, 1925-1937
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineHistoire de l'artfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractLes expositions universelles ont généralement été perçues comme des moteurs de la modernité. Ces grandes foires de l’humanité, en plus de présenter les plus récentes technologies et développements industriels, ont été de véritables terrains de jeu pour les architectes de toutes les époques; et l’architecture, qu’elle soit avant-gardiste ou plutôt traditionnelle, aura été l’une des composantes importantes des expositions universelles. Ce mémoire interroge les liens unissant les expositions universelles à l’éclosion du mouvement de l’architecture moderne dans la première moitié du 20e siècle. Pour y arriver, les expositions parisiennes de 1925 et de 1937 sont étudiées. Portées par des architectes tels Le Corbusier, Konstantin Melnikov ou Josep Lluis Sert, elles dévoilent des architectures parfois artistiquement avant-gardistes, parfois politisées et divergentes. À travers les expositions, les positions officielles — celles des gouvernements ou encore des organisateurs — n’ont cessé d’être confrontées. Dans le cadre de ce mémoire, c’est cette idée de confrontation que nous explorons, dans le but de démontrer comment ces divergences, relativement aux discours officiels, ont pu permettre à une architecture moderne et d’avant-garde d’éclore. Ces confrontations sont artistiques, politiques, et idéologiques. Cette étude s’inspire principalement des méthodes des historiens de l’architecture Kenneth Frampton, Michel Ragon et Jean-Louis Cohen. Nous leurs empruntons leur manière d’intégrer la production architecturale dans un contexte socio-historique et politique bien défini.fr
dcterms.abstractThe World’s Fairs have generally been perceived as motors for modernity. These gigantic events, aside from presenting the world’s most recent technologies and industrial developments have always been playgrounds for architects, making architecture the key component. This thesis studies the links between the world’s fairs and the emergence of modern architecture in the first half of the twentieth century. To do so, it studies the Parisian fairs of 1925 and 1937. Carried by architects such as Le Corbusier, Konstantin Melnikov or Josep Lluis Sert, these fairs reveal divergent architecture, both artistic and political. Throughout these fairs, the official stances — those of the governments and the organizers — have continually been challenged. In this thesis, it is this idea of confrontation that we put forward as to reveal how these divergences from the official stances have enabled the emergence of modern architecture. These divergences are artistic, political, and ideological. This thesis is inspired by the ways and means of architectural historians Kenneth Frampton, Michel Ragon, and Jean-Louis Cohen. We borrow their ways of integrating architectural elements in a wider and well-defined sociohistorcial and political context.fr
dcterms.languagefrafr


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