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dc.contributor.advisorPopovic, Pierre
dc.contributor.authorMarcotte, Viviane
dc.date.accessioned2017-05-25T15:51:47Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2017-05-25T15:51:47Z
dc.date.issued2017-03-28
dc.date.submitted2016-07
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/18713
dc.subjectVictor Hugofr
dc.subjectL'Homme qui ritfr
dc.subjectsaltimbanquefr
dc.subjectsociocritiquefr
dc.subjectimaginaire socialfr
dc.subjectlittérature françaisefr
dc.subjectMountebankfr
dc.subjectSociocriticismfr
dc.subjectSocial imagination and french literaturefr
dc.subject.otherLiterature - General / Littérature - Généralités (UMI : 0401)fr
dc.titleLes voix du saltimbanque et leur mise en scène dans L'homme qui rit de Victor Hugofr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineLittératures de langue françaisefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractMalgré sa disparition progressive dans l’espace public, le saltimbanque, objet constant de méfiance et de mépris du côté des élites sociales, connaît un regain dans l’art et la littérature du XIXe siècle. Publié en 1869, L'Homme qui rit de Victor Hugo offre une représentation particulièrement élaborée de cette figure. Le roman déploie un encyclopédisme et une polyphonie qui permettent de situer l’art du saltimbanque dans l’ensemble des théâtralisations de la parole publique qu’il passe en revue. Les deux personnages principaux, des bateleurs du nom de Gwynplaine et d’Ursus, sont conduits à franchir des frontières sociales et culturelles habituellement étanches : ils évoluent entre autres dans les villes, sur les places, sur les routes, dans les tribunaux, dans les caves pénales, dans les auberges et dans les chambres parlementaires. L’étude sociocritique de leurs parcours met en lumière le dialogue que le roman hugolien entretient avec l’imaginaire social du Second Empire, tout particulièrement à l’égard des débats sur la misère, sur le sens du pouvoir et sur la valeur du théâtre qui le traversent.fr
dcterms.abstractAlthough the mountebanks as progressively disappeared from the public space, led by the constant mistrust and the aversion of the elite society, the subject knows a renewal of popularity in art and literature of the 19th century. Published in 1869, L'Homme qui rit written by Victor Hugo offers an especially elaborated representation of that figure. The book unfolds an encyclopaedism and an impressive polyphony that help to narrow the art of the mountebanks into the entirety of the theatricalisation of the public voice. The two main characters, both street performers named Gwynplaine and Ursus, are led to step over social and cultural frontiers that are normally hermetic: they evolve inter alia in the cities, on the places, the roads, through court houses, jails, inns and parliament chambers. The sociocritic study of those different paths clarifies the dialogue between the novel and the spirit of the second empire’s society, particularly with regard to the debates on misery, the meaning of the authority and the value of the theatre which cross it.fr
dcterms.languagefrafr


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