Des casquettes, de la sociocritique, de la sociologie de la littérature, du Siècle des Lumières et de la lettre
dc.contributor.author | Melançon, Benoît | |
dc.date.accessioned | 2016-04-28T20:23:03Z | |
dc.date.available | 2016-04-28T20:23:03Z | |
dc.date.issued | 1996 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/13814 | |
dc.subject | Correspondance | fr |
dc.subject | Épistolarité | fr |
dc.subject | Lettre | fr |
dc.subject | Siècle des Lumières | fr |
dc.subject | Sociocritique | fr |
dc.subject | Lettres | fr |
dc.subject | XVIIIe siècle | fr |
dc.subject | Dix-huitième siècle | fr |
dc.title | Des casquettes, de la sociocritique, de la sociologie de la littérature, du Siècle des Lumières et de la lettre | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue française | fr |
dcterms.abstract | Contrairement à Charles Bovary, qui n'en avait qu'une, je me coiffe, selon les circonstances de ma vie professionnelle, tantôt de ma casquette de dix-huitiémiste, tantôt de ma casquette d'épistologue (suivant le mot créé par Michel Pierssens). C'est à ce double titre que je veux livrer quelques réflexions sur les rapports de la sociologie de la littérature et de la sociocritique. L'on verra que les problèmes soulevés et les irritants exposés ne sont pas exactement identiques dans un domaine et dans l'autre, même s'ils renvoient à une seule volonté – lire des textes dans leur inscription sociale –, et que m'intéressent beaucoup plus les lectures in situ que les théorisations in vitro. | fr |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.ORCIDAuteurThese | 0000-0003-3637-3135 | |
UdeM.VersionRioxx | Version acceptée / Accepted Manuscript | |
oaire.citationTitle | Discours social = Social discourse | |
oaire.citationVolume | 8 | |
oaire.citationIssue | 3-4 | |
oaire.citationStartPage | 23 | |
oaire.citationEndPage | 27 |
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