dc.contributor.author | Côté, Robert | |
dc.date.accessioned | 2016-03-11T22:05:22Z | |
dc.date.available | 2016-03-11T22:05:22Z | |
dc.date.issued | 2014 | |
dc.identifier.uri | http://www.revueithaque.org/fichiers/Ithaque14/Cote.pdf | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/13253 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | |
dc.rights | Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada. | |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr | |
dc.title | Sensualité des expériences mystiques chez Augustin | |
dc.type | Article | |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | Dans ses Confessions, long discours qu’il adresse directement à Dieu, Augustin explique comment l’homme, inquiet de s’être détourné de Dieu par insouciance, aspire intérieurement à retourner à son créateur, et à vivre l’expérience de plénitude associée à ce retour. Mais cette quête est d’abord celle d’Augustin lui-même qui, au IV e siècle, se rappelant les étapes de sa propre conversion au christianisme, évoque deux expériences d’extase qu’il a faites de Dieu, pendant lesquelles il entre en relation directe et charnelle avec la réalité divine. Mais comment de telles expériences mystiques peuvent-elles avoir un caractère aussi sensuel, alors que, selon Augustin, l’ascension vers Dieu suppose justement de l’homme qu’il réussisse à élever son esprit au-delà des tentations charnelles ? Le présent article vise à comprendre un peu mieux ce paradoxe. | |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1703-1001 | |
dcterms.language | fra | |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | |
oaire.citationTitle | Ithaque | |
oaire.citationVolume | 14 | |
oaire.citationStartPage | 93 | |
oaire.citationEndPage | 111 | |