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dc.contributor.authorLarrue, Jean-Marc
dc.date.accessioned2016-01-20T15:38:11Z
dc.date.available2016-01-20T15:38:11Z
dc.date.issued1986
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/12893
dc.publisherCahiers de théâtre Jeu inc.
dc.subjectRevuefr
dc.subjectThéâtre québécoisfr
dc.subjectXIXe sièclefr
dc.subjectThéâtre francophonefr
dc.subjectQuébecfr
dc.subjectThéâtrefr
dc.subjectCritiquefr
dc.titleLes débuts de la critique dramatique au Québec (1870-1896) : un contexte difficilefr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue françaisefr
dcterms.abstractPerçue comme organisation institutionnelle, l'activité théâtrale peut être divisée en quatre grands secteurs (ou instances) : la production, la distribution, la consommation et la légitimation. À l'intérieur de chacun de ces secteurs, différents agents assument des fonctions précises et complémentaires : interpréter, écrire, produire, distribuer, regarder, juger, etc. Dans ce partage des responsabilités et des pouvoirs, la critique joue un rôle complexe dont l'importance et la pertinence varient selon les époques et les lieux. La critique relève de l'instance de légitimation. Dans une société organisée et hiérarchisée (comme la France du XIXe siècle), elle s'exprime autant dans les grands journaux que dans les périodiques spécialisés et les ouvrages érudits. Elle constitue la première étape de l'oeuvre dramatique vers sa consécration. Les académies, par leurs prix et leurs concours, et l'École, par la mise au programme de certains textes, assurent le couronnement définitif des oeuvres et des auteurs. Le Québec de la fin du XIXe siècle ne dispose pas d'une instance de légitimation aussi structurée. Son organisation interne et sa situation géographique le soumettent à des pressions si variées et si nombreuses qu'il doit continuellement chercher à l'extérieur de ses frontières le pouvoir de consécration qui lui manque. Il n'a pas d'académie, pas de grand concours dramatique (d'écriture ou d'interprétation), et les sommités qui remplissent les rares chaires littéraires des universités Laval de Québec et de Montréal sont des Français de passage. On pourrait donc croire qu'en raison de l'absence d'autres agents, la critique locale aurait envahi tout le champ de la légitimation et assumé seule le couronnement des oeuvres et des auteurs au Québec. Mais il n'en fut rien! [Introduction]fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:0382-0335
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1923-2578
dcterms.languagefrafr
UdeM.VersionRioxxVersion acceptée / Accepted Manuscript
oaire.citationTitleJeu : revue de théâtre
oaire.citationIssue40
oaire.citationStartPage111
oaire.citationEndPage121


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