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dc.contributor.authorVitali-Rosati, Marcello
dc.date.accessioned2015-02-09T16:18:52Z
dc.date.available2015-02-09T16:18:52Z
dc.date.issued2014
dc.identifier.urihttp://id.erudit.org/iderudit/1027191ar
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/11379
dc.publisherLes Presses de l'Université de Montréal
dc.subjectÉditorialisationfr
dc.subjectRevue scientifiquefr
dc.subjectRevue savantefr
dc.subjectNumériquefr
dc.subjectÉdition savantefr
dc.subjectÉdition scientifiquefr
dc.subjectRevue numériquefr
dc.subjectRevue littérairefr
dc.titleLes revues littéraires en ligne : entre éditorialisation et réseaux d’intelligencesfr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue françaisefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériquesfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Canada Research Chair on Digital Textualitiesen
dcterms.abstractCet article propose un état des lieux sur les revues littéraires numériques. Cette tâche pourrait sembler facile si l’on considère que ces expériences existent depuis très peu de temps. Les premières revues en ligne apparaissent, en effet, au début des années 1990. Pourtant, la question est beaucoup plus complexe que ce que l’on pourrait penser, et cela, pour une série de raisons qui seront analysées dans cet article. Il n’est tout d’abord pas évident de s’entendre sur ce que l’on définit par l’expression « revue littéraire numérique ». D’une part car on fait référence, avec le mot « numérique », à une série d’expériences et de pratiques hétérogènes et différentes qui peuvent difficilement être regroupées ensemble. D’autre part parce que ce qu’on appelle désormais la « révolution numérique » a déterminé des changements importants quant au sens des contenus, de leur production, de leur validation et de leur distribution et a par conséquent fortement affecté la signification du mot « revue » lui-même. Il faudra ainsi prendre séparément en considération une série de phénomènes différents et essayer de rendre compte de pratiques hétérogènes qui se chevauchent et empiètent l’une sur l’autre. L’article proposera d’abord une analyse des enjeux de la numérisation des revues, à savoir le processus de transposition des revues papier au format électronique. Il s’attaquera ensuite aux expériences des revues numériques dès leur création pour comprendre s’il y a une différence, et laquelle, entre les premières et les secondes. Pour finir, on tentera de comprendre en quoi le numérique en tant que phénomène culturel — et en particulier les changements de diffusion et de circulation des contenus ainsi que les différentes formes de ce que l’on appelle désormais « éditorialisation » — a transformé l’idée même de revue et donné lieu à des pratiques et à des expériences complexes et hybrides dont la place dans le panorama culturel est difficile à saisir.fr
dcterms.abstractThis article presents an overview of digital literary journals. A seemingly easy task given their brief lifetime—the first online journals appeared in the early 1990s—it is, in fact, considerably more complex than one might think for a number of reasons examined here. To begin with, even the definition of « digital literary journal » is not easily agreed upon. On the one hand, we use the word « digital » to refer to various heterogeneous practices that don’t readily group together. On the other hand, what we now call the « digital revolution » has produced major changes in terms of content, production, validation and distribution which greatly impact the meaning of the word « journal » itself. Different phenomena must therefore be considered separately in any attempt to illuminate the disparate practices that overlap and impinge on one another. This article first investigates the challenges facing the digitization of journals, namely the process of transposing paper journals to electronic format. It then surveys the digital journals since their inception to try to understand the different experiences that occurred from one to the other. In conclusion, an attempt is made to understand how the digital as cultural phenomenon—especially amid changes in dissemination and circulation of content and the various forms of so-called « editorializing »—has transformed the very notion of the journal itself and given rise to complex and hybrid practices that may be difficult to situate in the overall cultural vista.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:0014-2085
dcterms.languagefrafr
UdeM.VersionRioxxVersion acceptée / Accepted Manuscript
oaire.citationTitleÉtudes françaises
oaire.citationVolume50
oaire.citationIssue3
oaire.citationStartPage88
oaire.citationEndPage104


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