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dc.contributor.advisorSaul, Samir
dc.contributor.authorHéroux, Pascal
dc.date.accessioned2014-06-03T15:45:49Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2014-06-03T15:45:49Z
dc.date.issued2014-03-03
dc.date.submitted2013-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/10682
dc.subjectFrancefr
dc.subjectMémoirefr
dc.subjectLoifr
dc.subjectEnseignementfr
dc.subjectColonisationfr
dc.subjectMemoryfr
dc.subjectLawfr
dc.subjectTeachingfr
dc.subjectColonizationfr
dc.subject.otherHistory - European / Histoire - Européenne (UMI : 0335)fr
dc.titleLa loi mémorielle de 2005 et la réaction des historiens. Perspective sur la pédagogie de la mémoire dans les cours d'histoire
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineHistoirefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractLa loi mémorielle du 23 février 2005 a créé une grande controverse en France. Les historiens furent le fer de lance de cette opposition, tant cette loi heurtait les fondements même de leur profession. En effet, la loi de 2005 préconisait l’obligation pour ceux-ci d’enseigner le rôle positif de la colonisation française, ce qui contrevient à la liberté de pensée indispensable à la fonction de l’historien. Le présent mémoire analyse la réaction des historiens afin de cerner leurs positions et leur compréhension de la crise. Il porte un nouveau regard sur la crise mémorielle de 2005 et évalue les écrits et actions des historiens. Il s’avère que la crise fut plus complexe que l’interprétation que lui ont donnée les historiens. À cet égard, l’étude souligne l’importance de l’espace public dans la relation entre les communautés mémorielles et les historiens. A ce titre, l’école symbolise ce lieu de rencontre entre histoire et mémoire. Le mémoire examine aussi l’enseignement de l’histoire dans un milieu scolaire affecté par les tensions mémorielles. En réponse à ces débordements de mémoire, l’historien a un devoir de rigueur intellectuelle autant à l’école que dans l’espace public en général.fr
dcterms.abstractThe memorial law of February 23, 2005 created quite an uproar in France. Historians spearheaded the opposition, as the act collided head on with the very basis of their profession. Actually, the law of 2005 advocated the obligation for them to teach the positive values of French colonization, a recommendation that contradicted the freedom of thought essential to their role as historians. This dissertation analyzes how historians reacted in order to work out their positions and their understanding of the crisis. It sheds new light on the memorial crisis of 2005 and assesses what historians wrote and acted upon in the wake of the law. It turns out that the crisis was more complex than the interpretation given by historians. In this respect, the study underlines the importance of the public arena in the relationship between memorial communities and historians. To that effect, schools symbolize the meeting ground of memory and history. The dissertation also examines the teaching of history in a school environment affected by memorial tensions. In response to these memorial excesses, historians have a duty to uphold intellectual rigor in school as well as in public space in general.fr
dcterms.languagefrafr


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