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dc.contributor.advisorForget, Robert
dc.contributor.advisorLavallée, Carolle
dc.contributor.authorFredette, Annie-Pier
dc.contributor.authorLebel, Stéphanie
dc.contributor.authorPedneault, Gabrielle
dc.contributor.authorRondeau, Vanessa
dc.date.accessioned2012-10-19T12:40:33Z
dc.date.available2012-10-19T12:40:33Z
dc.date.issued2012-10-18
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/8653
dc.subjectAccident vasculocérébralen
dc.subjectDouleur
dc.subjectÉpaule
dc.subjectPrévention
dc.subjectÉvaluation
dc.subjectTraitement
dc.titleDémystifier la problématique de l’épaule douloureuseen
dc.typeTravail étudiant / Student work
etd.degree.disciplinePhysiologieen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.nameM. Sc.en
dcterms.abstractProblématique: La prévalence de la douleur à l’épaule post-AVC varie de 5% à 84%. Cette grande variabilité reflète la difficulté à cibler la cause exacte entraînant cette douleur. Il est donc difficile pour les cliniciens d’optimiser leurs évaluations et leurs interventions pour traiter cette condition. Hypothèse : Une meilleure capacité à déterminer la cause de la douleur permettrait d’améliorer l’efficience des interventions (préventives, évaluatives et de traitement). Objectifs : Identifier les mécanismes centraux et périphériques ainsi que les facteurs personnels et environnementaux impliqués dans le développement de cette douleur. Décrire l’évaluation et discuter du pronostic fonctionnel. Déterminer les modalités préventives et de traitements efficaces de la douleur à l’épaule. Stratégie méthodologique : Revue de littérature à partir de Medline, Pubmed, Cochrane, Embase, Strokengine et EBRSR. Résultats : Il faut considérer que le syndrome de douleur centrale post-AVC et le SDRC de type 1 présentent un délai d’apparition. Au niveau périphérique, il y a une corrélation entre la douleur et la spasticité et la perte de fonctions motrices, mais pas avec la subluxation. À l’évaluation, l’EVA ou l’échelle «Faces Pain Scale» verticales sont proposées bien que non validées. Une diminution de la mobilité en rotation externe est fréquemment observée. Pour la prévention, un positionnement et un «handling» adéquats font consensus. La pouliethérapie est à éviter. La thérapie miroir est recommandée pour traiter douleur d’origine centrale. Conclusion : Les cliniciens doivent considérer que la douleur à l’épaule peut être d’origine centrale ou périphérique et que la prévention est importante.en
dcterms.descriptionTravail d'intégration réalisé dans le cadre du cours PHT-6113.en
dcterms.languagefraen
UdeM.cycleÉtudes aux cycles supérieurs / Graduate studies


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