Show item record

dc.contributor.advisorMoulin, Stéphane
dc.contributor.authorButeau, Calherbe
dc.date.accessioned2012-09-25T13:40:17Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2012-09-25T13:40:17Z
dc.date.issued2012-09-04
dc.date.submitted2012-06
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/8620
dc.subjectLangue de travailen
dc.subjectlangue d’usageen
dc.subjectlangue maternelleen
dc.subjectusages contextuelsen
dc.subjectcompétences linguistiquesen
dc.subjectworkplaceen
dc.subjectmother tongueen
dc.subjecthome languageen
dc.subjectcontextual usesen
dc.subjectskillsen
dc.subject.otherSociology - Demography / Sociologie - Démographie (UMI : 0938)en
dc.titleLes déterminants de l’usage du français en milieu de travail au Québecen
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineSociologieen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sen
etd.degree.nameM. Sc.en
dcterms.abstractLa plupart des travaux portant sur l’usage du français en milieu de travail tendent à adopter une perspective métrologique qui vise à cerner les déterminants de l’utilisation du français en milieu de travail. Dans ce mémoire, nous cherchons à changer d’optique en envisageant non pas d’expliquer les déterminants de l’usage principal du français en milieu de travail, mais à connaitre les principaux contextes auxquels les personnes se réfèrent pour déclarer le français comme langue principale de travail. Nous faisons en effet l’hypothèse que le fait de déclarer le français comme langue principale de travail est le résultat d’une synthèse de pratiques linguistiques contextuelles distinctes. Pour répondre à cet objectif de recherche, nous mobilisons les données d’une enquête de l’Office québécois de la langue française réalisée en 2007. Au sein de l’ensemble des contextes de travail pris en compte dans cette enquête, nous avons choisi cinq contextes : la réunion de travail, la lecture de documents produits par l’entreprise, le fait de communiquer avec l’extérieur, le fait de communiquer avec le ou les supérieurs immédiats et l’utilisation des technologies de l’information. Ainsi, nous nous sommes limités d’abord à l’étude d’un certain nombre de contextes qui touchent presqu’à l’ensemble des travailleurs particulièrement ceux qui ont à communiquer avec des supérieurs, à lire des documents produits par leur entreprise, à participer régulièrement à des réunions de travail, puis nous abordons des contextes plus spécifiques et qui touchent à un nombre plus faible de travailleurs tels : ceux qui ont à utiliser des logiciels et enfin à communiquer avec l’extérieur. Notre analyse révèle que, au-delà des caractéristiques individuelles et du contexte général du milieu de travail, ces usages contextuels des langues en milieu de travail prédisent mieux la déclaration de la langue de travail des travailleurs. Quand il s’agit de déclarer la langue principale de travail, les travailleurs semblent principalement faire référence à la langue qu’ils utilisent dans les réunions de travail, dans la langue de lecture des documents produits par l’entreprise, dans les communications avec les supérieurs immédiats ainsi qu’aux versions linguistiques des logiciels utilisés et des communications avec des clients et fournisseurs de l’extérieur du Québec.en
dcterms.abstractMost researches on the use of French in the workplace tend to adopt a methodological perspective that aims to identify the determinant factors of the use of French in the workplace. In this paper, we intend to change this perspective by attempting instead, to apprehend the main contexts in which people relate to declare French as their language of work. We make the assumption that declaring French as the main language of work result of both contextual and distinct linguistic practices. To meet this research objective, we draw data from a survey conducted in 2007 by the Office of the French Language in Quebec. Based on this survey, we have selected five contexts to which people relate to when using the French language in the workplace: workshop, reading of documents produced by the company, communication with the outside world, communication with immediate supervisors, and the use of technology of information. Thus, we have limited ourselves to the study of workers that have to communicate with supervisors, read documents produced by their company, participate regularly in meeting, use software, and finally communicate with other people from the outside. Our analysis reveals that, beyond individual characteristics and the general context of the workplace, these contextual uses of language in the workplace predict the best statement of the language of workers. When it comes to declare the main language of work, workers seem mainly to refer to the language they use in meetings, in the language of reading documents produced by the company in communications with immediate superiors and to use language versions of software and communications with customers and suppliers outside of Quebec.en
dcterms.languagefraen


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show item record

This document disseminated on Papyrus is the exclusive property of the copyright holders and is protected by the Copyright Act (R.S.C. 1985, c. C-42). It may be used for fair dealing and non-commercial purposes, for private study or research, criticism and review as provided by law. For any other use, written authorization from the copyright holders is required.