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dc.contributor.advisorAmmar, Ahlem
dc.contributor.authorMohamed Hassan Mohamed, Rania
dc.date.accessioned2011-04-20T17:58:26Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2011-04-20T17:58:26Z
dc.date.issued2011-03-03
dc.date.submitted2011-01
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/4925
dc.subjectCroyances des enseignantsen
dc.subjectCroyances des apprenants adultesen
dc.subjectRétroaction correctiveen
dc.subjectReformulationen
dc.subjectIncitationen
dc.subjectNégociation de la formeen
dc.subjectPratique réelleen
dc.subjectFrançais langue étrangèreen
dc.subjectTeacher beliefsen
dc.subjectAdult learners’ beliefsen
dc.subjectCorrective feedbacken
dc.subjectPromptsen
dc.subjectNegotiation of formen
dc.subjectFrench as a Foreign Languageen
dc.subject.otherEducation - Higher / Éducation - Enseignement supérieur (UMI : 0745)en
dc.titleLes croyances des enseignants et des apprenants adultes quant à la rétroaction corrective à l’oral et la pratique réelle en classe de français langue étrangère en Égypteen
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineSciences de l'éducation - Didactiqueen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelDoctorat / Doctoralen
etd.degree.namePh. D.en
dcterms.abstractDifférentes études ont montré que le niveau des futurs enseignants, issus des écoles publiques, en français langue étrangère (FLE) en Égypte est assez faible. Ceux-ci font un grand nombre d’erreurs répétitives à l’oral. Quoique ce manque de précision langagière puisse être dû à plusieurs facteurs, il appert que la rétroaction soit une des variables contribuant à ce phénomène (comme le nombre d’étudiants en classe, la durée du cours, l’âge et la motivation des étudiants, les méthodes d’enseignement, etc.). La rétroaction corrective est généralement définie comme toute correction explicite ou implicite de la part de l’enseignant indiquant que la production de l’apprenant est erronée. Elle est considérée comme indispensable dans les classes de langues secondes (LS) (Shmidt, 1983, 2001 ; Long, 1991, 1996 ; Lightbown, 1998). Pour ces raisons, cette étude porte sur la rétroaction corrective et, plus spécifiquement, sur les croyances des enseignants et des apprenants quant à celle-ci, ainsi qu’à son utilisation dans les classes de FLE en Égypte. Les recherches antérieures indiquent que les croyances des enseignants quant à l’acte d’enseigner influencent leurs pratiques en classe, que les croyances des apprenants influencent leur motivation, leur niveau et leurs efforts déployés pour l’apprentissage de la langue, et qu’une divergence entre les croyances des professeurs et celles des apprenants peut entraîner des effets négatifs sur l’apprentissage de la langue cible, ce qui indique ainsi qu’il est de grande importance d’explorer les croyances. Ainsi, la présente étude vise à explorer les croyances des professeurs égyptiens et celles de leurs étudiants en ce qui a trait à la rétroaction corrective à l’oral, la différence entre ces croyances, et l’identification des pratiques réelles des professeurs afin de décrire à quel point celles-ci reflètent les croyances exprimées. Pour ce faire, un questionnaire a été administré à 175 étudiants et 25 professeurs appartenant à trois universités égyptiennes afin de déterminer leurs croyances déclarées. Des entrevues semi-dirigées et des observations directes ont été réalisées auprès de neuf des 25 professeurs participants pour mieux déterminer leurs croyances et leurs pratiques rétroactives. Les résultats obtenus ont révélé qu’il existe des divergences importantes entre les croyances des professeurs et celles des étudiants, d’un côté, et entre les croyances des professeurs et leur pratique, de l’autre côté. Par exemple, la plupart des étudiants ont déclaré leur opposition à l’utilisation de la reformulation alors que presque la moitié des professeurs ont indiqué être en faveur de cette même technique. Les professeurs ont indiqué que leur choix de techniques rétroactives dépend du type d’erreurs et qu’ils préfèrent inciter les apprenants à s’auto corriger. Cependant, ces mêmes professeurs ont utilisé la reformulation pour corriger la majorité des erreurs de leurs apprenants, quelle que soit leur nature. Nous parvenons ainsi à la conclusion que l’utilisation de la reformulation, qui fait l’objet d’une divergence au niveau des croyances, pourrait être à l’origine du manque de précision langagière rapporté par les chercheurs.en
dcterms.abstractPrevious research revealed that Egyptian learners of French as a foreign language who will be the future teachers of French in Egypt produce numerous errors repetitively during oral productions. While this lack of accuracy can be attributed to a cohort of factors (number of students in class, duration of course, age and motivation of students, methods of teaching, etc.), it is assumed in the present study that corrective feedback could be at the origins of the reported results. Defined as implicit or explicit teacher reactions to the learners’ incorrect renditions, corrective feedback is seen by many second language acquisition researchers (Schmidt, 1983, 2001; Long, 1991, 1996; Lightbown, 1998) as a driving force behind interlanguage development. Among other things, corrective feedback draws learners’ attention to form and helps them notice the gap between their interlanguage and the L2 norm. In light of these theoretical arguments along with empirical research findings indicating the benefits of corrective feedback, the present study investigated corrective feedback provided in French as a foreign language classes in Egyptian universities. More specifically, the study explored teachers’ and students’ beliefs about feedback as well as teachers’ in-class use of feedback. Previous research on beliefs indicates that teachers’ beliefs shape their teaching and that learners’ beliefs affect their motivation and determine the effort students are willing to deploy to learn the target language. Based on these theoretical and empirical claims, the present study investigated teachers’ and students’ beliefs about oral corrective feedback in learning French as a foreign language in Egypt and explored teachers’ actual corrective feedback practices to determine the extent to which they correspond to their declared beliefs. A beliefs questionnaire was administered to 175 students and 25 language teachers to determine their beliefs about corrective feedback. Nine of the 25 teachers were also interviewed and observed for a total of 27 hours to further investigate their beliefs and in-class practices. The results indicate a mismatch between teachers’ and students’ beliefs on the one hand, and a divergence between teachers’ beliefs and their actual teaching on the other. In terms of the relationship between students’ and teachers’ beliefs, the results reveal that while the majority of the learners do not see recasts as an effective feedback technique, almost half of the teachers do. As for the mismatch between teachers’ beliefs and their in-class practices, a two-fold pattern emerged. First, all the teachers reported that error type determined the technique they used to correct errors and that they preferred to push their learners to self-correct. However, recasts proved to be the technique of choice and that was regardless of error type. Instances of self-correction were rare with teachers choosing to recast most of their students’ errors instead of pushing them to remedy the errors on their own. As such, it may be speculated that the teachers’ choice of corrective feedback techniques, which happens to run counter to the students’ expectations (as shown in the beliefs questionnaire) may be a major factor behind the students’ reported lack of accuracyen
dcterms.languagefraen


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