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dc.contributor.authorTchotourian, Ivan
dc.date.accessioned2011-02-26T21:32:09Z
dc.date.available2011-02-26T21:32:09Z
dc.date.issued2011
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/4670
dc.subjectThéorie de l’agenceen
dc.subjectGouvernance actionnarialeen
dc.subjectRemise en causeen
dc.subjectDéveloppement durableen
dc.subjectRSEen
dc.subjectLoi n°2010-788 du 12 juillet 2010en
dc.titleLa loi Grenelle II où le temps de réviser la gouvernance actionnariale : propos iconoclastes d’un juriste sur l’avenir des théories économiques et financièresen
dc.typeAutre / Other
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté de droitfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté de droit. Centre de droit des affaires et du commerce internationalfr
dcterms.abstractLa théorie de l’agence est le cadre d’analyse traditionnelle de la gouvernance d’entreprise. La concentration des théories financières et managériales autour de la seule relation actionnaires dirigeants a conduit à l’avènement au cours des années 80 de la gouvernance actionnariale et financière, dont les instruments financiers, comptables et juridiques se sont faits les relais. Cependant, les préoccupations grandissantes en faveur du développement durable et de la RSE – et, plus globalement, le devenir de la planète – amènent à modifier cet état de fait. Si la théorie de l’agence doit être conservée comme fondement des règles de gouvernance tant elle constitue une lecture pertinente des enjeux de pouvoirs au sein des entreprises, le conflit d’intérêt doit être reconstruit in futurum sur la relation entreprise-civilisation. L’adoption de la loi n°2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement autorise aujourd’hui cette refondation de la gouvernance d’entreprise.en
dcterms.languagefraen


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