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dc.contributor.advisorBéliveau, Marie-Julie
dc.contributor.authorLessard, Alexanne
dc.date.accessioned2022-05-02T18:00:42Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2022-05-02T18:00:42Z
dc.date.issued2021-08-31
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/26638
dc.subjectFratriefr
dc.subjectCompétence socialefr
dc.subjectDéveloppement enfantfr
dc.subjectPréscolairefr
dc.subjectClinique psychiatriquefr
dc.titleInfluence de la fratrie sur la compétence sociale des enfants préscolaires consultant en clinique psychiatriquefr
dc.typeTravail étudiant / Student workfr
etd.degree.disciplinePsychologie cliniquefr
dcterms.abstractL’acquisition d’une bonne compétence sociale est une tâche développementale primordiale pour le jeune enfant. Les frères et sœurs constituent fréquemment les premières relations de collaboration et d’échange. Il est ainsi probable qu’ils exercent une influence considérable sur le développement des habiletés sociales de l’enfant. La présente étude vise à mieux comprendre l’influence que la fratrie peut avoir sur la compétence sociale d’une population clinique d’enfants d’âge préscolaire présentant des difficultés développementales et émotionnelles. L’évaluation de la compétence sociale a été effectuée par l’entremise du Profil Socio-Affectif (PSA; LaFrenière et al.,1990). La position dans la fratrie, le nombre de frères et sœurs ainsi que le fait d’être une fille avec une haute proportion de filles dans la fratrie de 411 enfants ont été observés afin de comprendre leur relation avec le score obtenu à l’échelle de la compétence sociale du PSA. Parmi les variables décrivant la fratrie, la proportion de filles dans la fratrie, mais pour les filles uniquement, et le nombre de frères et sœurs s'avèrent être significativement associés à la compétence sociale. Plus précisément, être une fille avec une haute proportion de filles dans la fratrie est associée à une meilleure compétence sociale (p < 0,001) et la présence d’un seul frère ou sœur est associée à une meilleure compétence sociale que l’absence de fratrie ou une fratrie plus nombreuse (p = 0,02). De plus, certaines catégories diagnostiques ont été significativement associées à la compétence sociale: les problèmes relationnels et familiaux de l’enfant (p < 0,001), les retards mentaux et les troubles envahissants du développement (p < 0,001) ainsi que la catégorie regroupant les troubles de la communication et les troubles moteurs (p = 0,01). Le pays de naissance de la mère (p < 0,001), l’âge (p= 0,03) et le sexe de l’enfant (p < 0,001), sont également significativement associé à la compétence sociale. L’ensemble de ces variables expliquent 23,3% de la variance sur la compétence sociale, selon le modèle de régression. La présente étude souligne l’importance d’un plus grand nombre d’études s’intéressant aux facteurs personnels et familiaux et à l’influence qu’ils ont sur la compétence sociale, en particulier pour les enfants souffrant de psychopathologies.fr
dcterms.abstractAcquiring good social competence is an essential part of a young child’s developmental tasks. Sibling relationships often are the first ones characterized by collaboration and exchange. Thus, having a sibling will most likely considerably influence children social skills’ development. This study aims to better understand siblings’ influence on social competence in a clinical population of preschool children with developmental and emotional difficulties. Social competence was assessed with the Preschool Socio affective Profile (LaFrenière and al.,1990). The child’s birth rank, the total number of siblings and being a girl with a high proportion of girls among siblings were studied to understand how they related to the social competence score of preschoolers referred to an ambulatory psychiatric clinic (N = 411). The results showed that among the siblings’ variables, being a girl with a high proportion of girls among siblings was significantly associated with social competence (p < 0.001). In other words, girls with a high proportion of girl siblings are associated with a higher social competency score. The number of siblings also correlated with social competence (p = 0.02): the presence of a single sibling was associated with better social competence than having none or several. Three diagnostic categories were also found to be significantly associated with social competence: family or relationship problems (p < 0.001), mental retardation and pervasive developmental disorders (p < 0.001), as well as the category combining communication and motor disorders (p = 0,01). The mother's birth country (p < 0.001), the child’s age (p = 0.03) and the child’s sex (p < 0.001) were also significantly associated with social competence. All these variables explain 23.3% of the variance on social competence, according to the regression model. The present study highlights how important it is to do more studies that focus on personal and family factors and their influence on the social competence, especially for children with psychopathologies.fr
dcterms.descriptionEssai doctoral présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l'obtention du doctorat en psychologie clinique (D.psy)fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.cycleÉtudes aux cycles supérieurs / Graduate studiesfr


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