Show item record

dc.contributor.authorMaroşan, Mario Ionuț
dc.date.accessioned2020-03-18T19:59:49Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2020-03-18T19:59:49Z
dc.date.issued2019-12-03
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/23127
dc.subjectAristotefr
dc.subjectPlatonfr
dc.subjectHans-Georg Gadamerfr
dc.subjectIsaiah Berlinfr
dc.subjectHartmut Rosafr
dc.subjectCharles Blattbergfr
dc.subjectPierre Aubenquefr
dc.subjectAmitiéfr
dc.subjectJe-Tufr
dc.subjectJe-Celafr
dc.subjectAltéritéfr
dc.subjectAutosuffisancefr
dc.subjectDieufr
dc.subjectSagefr
dc.titleSur l'amitié pleine et entière chez Aristotefr
dc.typeContribution à un congrès / Conference objectfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de science politiquefr
dcterms.abstractDans sa conférence sur l’amitié et la connaissance de soi donnée à Munich, le 12 juillet 1983 lors du colloque « Wissenschaft und Existenz : Ein interdisziplinäres Symposium », Gadamer, manifestement interpellé par la mise en garde heideggérienne en ce qui concerne le fait que « nous ne pensons toujours pas les Grecs de façon assez grecque », va rapprocher la question de la relation à la conception aristotélicienne de l’amitié véritable, « c’est-à-dire pleine et entière », d’où le titre de notre essai, à la lumière de la conviction d’Aristote voulant que « la condition commune de toute amitié réside dans un « attachement » authentique, ce qui veut dire, à des degrés divers, une « coexistence » ». C’est là notre point de départ et notre fil conducteur. En tant que réflexion philosophique structurée autour d’un effort de synthèse qui correspond, on pourrait le souligner, à une leçon qui se doit d’être préparée à la fois de manière concise sur la forme et complète vis-à-vis le contenu, notre essai portera de manière encadrée sur la question de l’amitié chez Aristote. Par conséquent, dans l’optique de concrètement centrer notre analyse sur Aristote, il est pertinent de réfléchir la place d’autrui, et par extension, de soi-même, à travers précisément le lien de réciprocité qu’articule l’amitié. Pourquoi est-ce pertinent ? Parce qu’une telle réflexion nous permet de percer au cœur même de « certains paradoxes sur l’amitié, reconnus comme tels par Aristote lui-même, et dont la solution ne peut être cherchée, nous semble-t-il, que dans une réflexion plus générale sur l’anthropologie aristotélicienne »1. En fin de compte, notre réflexion sur l’amitié chez Aristote va ouvrir la voie vers une compréhension plus approfondie du refus aristotélicien de penser l’autosuffisance sans les amis : par l’amitié on s’approche aussi de la présence permanente. On conclura avec l’idée que l’« échange avec nos amis, c’est-à-dire ceux qui partagent nos opinions et nos projets, mais qui peuvent aussi les corriger ou les confirmer, nous permet de nous approcher du divin ou, pour le dire autrement, de l’existence idéale » du moment que l’amitié rend possible « ce qui autrement nous est refusé en tant qu’hommes ». Gadamer et Aubenque vont nous épauler.fr
dcterms.descriptionCongrès de la Faculté de philosophie de l'Université Laval, 2019fr
dcterms.languagefrafr


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show item record

This document disseminated on Papyrus is the exclusive property of the copyright holders and is protected by the Copyright Act (R.S.C. 1985, c. C-42). It may be used for fair dealing and non-commercial purposes, for private study or research, criticism and review as provided by law. For any other use, written authorization from the copyright holders is required.