Archives orales de la Convention du patrimoine mondial : entrevue menée avec Irina Bokova par Christina Cameron et Eng Sengsavang
dc.contributor.author | Bokova, Irina | |
dc.contributor.author | Cameron, Christina | |
dc.contributor.author | Sengsavang, Eng | |
dc.date.accessioned | 2019-05-09T14:07:05Z | |
dc.date.available | 2019-05-09T14:07:05Z | |
dc.date.issued | 2018-05 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/21668 | |
dc.title | Archives orales de la Convention du patrimoine mondial : entrevue menée avec Irina Bokova par Christina Cameron et Eng Sengsavang | fr |
dc.type | Présentation hors congrès / Non-conference presentation | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté de l'aménagement | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Chaire de recherche du Canada en patrimoine bâti | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Canada research chair on built heritage | en |
dcterms.abstract | Irina Bokova est une femme politique et diplomate bulgare. Elle a été Directrice Générale de l’UNESCO de 2009 à 2017. Elle est diplômée de l’Institut d’État des relations internationales de Moscou, et a également étudié à l’Université du Maryland et à la John F. Kennedy School of Government de l’Université Harvard. Elle a débuté sa carrière au département des Nations Unies du ministère des Affaires étrangères de Bulgarie en 1977. Elle a par la suite été appelée à travailler pour la mission permanente de la Bulgarie au siège de l’ONU, à New York. Élue députée au parlement bulgare à deux reprises, elle a assumé la fonction de ministre des Affaires étrangères par intérim entre 1996 et 1997. Elle a également été ambassadrice de la Bulgarie en France, à Monaco et auprès de l’UNESCO, en plus d’avoir représenté le président de son pays au sein de l’Organisation internationale de la Francophonie. Bokova est particulièrement reconnue pour son engagement en faveur de l’intégration de la Bulgarie dans l’Union Européenne. Élue Directrice Générale de l’UNESCO en 2009, elle est la première femme et la première personne originaire d’Europe de l’Est à occuper cette fonction. Durant ses deux mandats, elle a œuvré pour les grandes causes de l’organisation telles que l’éducation pour tous, l’égalité des genres, la coopération scientifique et le dialogue culturel. Elle a reçu de nombreuses distinctions de différents pays, ainsi que plusieurs doctorats honorifiques de grandes universités. Les extraits audio suivants sont issus d’une entrevue menée avec Irina Bokova par Christina Cameron et Eng Sengsavang en mai 2018 à Paris. Bokova y raconte son implication en tant que Directrice Générale de l’UNESCO dans la mise en œuvre de la Convention du patrimoine mondial. Elle porte un regard nuancé et critique sur la dimension politique inhérente à la protection du patrimoine culturel et prône des valeurs de dialogue, de diversité culturelle, de dignité humaine et d’entraide. Elle aborde aussi les nouveaux défis auxquels l’UNESCO fait face aujourd’hui, tels que la destruction intentionnelle du patrimoine par des extrémistes et l’importance de l’engagement des jeunes et de la société civile. | fr |
dcterms.language | eng | fr |
dcterms.tableOfContents | 1. La Convention du patrimoine mondial ; 1a. Implication d’Irina Bokova dans le patrimoine mondial ; 1b. Objectifs clés de la Convention du patrimoine mondial ; 1c. Synergie entre les différentes conventions de l’UNESCO ; 1d. Réussites et échecs de la Convention ; 2. Le Comité du patrimoine mondial ; 3. Le Secrétariat de la Convention : le Centre du patrimoine mondial ; 4. Efforts de conservation des États parties ; 5. Destruction intentionnelle du patrimoine mondial ; 6. Le rôle de la société civile |
Fichier·s constituant ce document
Ce document figure dans la ou les collections suivantes
Ce document diffusé sur Papyrus est la propriété exclusive des titulaires des droits d'auteur et est protégé par la Loi sur le droit d'auteur (L.R.C. (1985), ch. C-42). Il peut être utilisé dans le cadre d'une utilisation équitable et non commerciale, à des fins d'étude privée ou de recherche, de critique ou de compte-rendu comme le prévoit la Loi. Pour toute autre utilisation, une autorisation écrite des titulaires des droits d'auteur sera nécessaire.