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dc.contributor.advisorBatal, Malek
dc.contributor.authorKhachab, Zeina
dc.date.accessioned2018-06-08T14:35:18Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2018-06-08T14:35:18Z
dc.date.issued2018-05-10
dc.date.submitted2017-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/20420
dc.subjectSédentaritéfr
dc.subjectImpactfr
dc.subjectInterventionfr
dc.subjectOuagadougoufr
dc.subjectBurkina Fasofr
dc.subjectAfriquefr
dc.subjectFood consumptionfr
dc.subjectBody image perceptionfr
dc.subjectPhysical activityfr
dc.subjectSedentary lifestylefr
dc.subjectSchool age childrenfr
dc.subjectAfricafr
dc.subjectConsommation alimentairefr
dc.subjectPerception de l’image corporellefr
dc.subjectActivité physiquefr
dc.subjectEnfants d’âge scolairefr
dc.subject.otherHealth Sciences - Nutrition / Sciences de la santé - Alimentation et nutrition (UMI : 0570)fr
dc.titleÉtude d’impact : analyse des données de fréquence alimentaire, d’activité physique et d’image corporelle chez des enfants d’âge scolaire au Burkina Fasofr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineNutritionfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractUne étude menée en 2009 et en 2014 à Ouagadougou au Burkina Faso a évalué les comportements d’enfants d’âge scolaire. Le but de cette étude était d’évaluer l’impact d’une intervention dans des écoles sur les habitudes alimentaires, l’activité physique pratiquée et les attitudes et perceptions par rapport à l’image corporelle. L’intervention nutritionnelle, appelée « l’Initiative des Écoles Amies de la Nutrition » (IEAN) initiée par l’Organisation Mondiale de la Santé en 2006 pour prévenir le double fardeau nutritionnel, a été lancée dans six écoles « intervention » à Ouagadougou. Une étude de base en 2009 a recueilli des données alimentaires et sociodémographiques dans les six écoles « intervention » ainsi que dans six écoles « témoin » comparables du point de vue socioéconomique (privée/publique) et géographique (urbain/périurbain) avant l’initiation de l’IEAN. Pour cette étude, 799 élèves de cinquième année du primaire ont complété un questionnaire sur la fréquence de consommation d’aliments « sains » (fruits, légumes, viande, poisson, légumineuses) et « superflus » (gâteaux, biscuits, bonbons, glaces, soda), sur les déterminants du comportement alimentaire, sur la perception de leur image corporelle, et sur l’activité physique pratiquée. Des données similaires ont été recueillies en 2014, cinq ans après l’initiation de l’IEAN, auprès de 709 écoliers (54,3% de filles) dans les 12 mêmes écoles. L’âge moyen des écoliers était de 11,6 1,3 ans. Les analyses ont révélé un effet de l’intervention sur la consommation d’aliments « sains » mais pas pour les aliments « superflus ». Dans les écoles « intervention », les écoliers consommaient plus fréquemment des aliments « sains » par rapport aux écoles « témoin ». Les écoliers ayant participé à l’IEAN montraient une plus grande satisfaction par rapport à leur image corporelle en 2014 qu’en 2009 (p=0,030), comparativement aux élèves des écoles « témoin » (p=0,974). Entre 2009 et 2014, la pratique de sport a augmenté dans les deux groupes d’écoles, avec une fréquence de pratique plus élevée dans les écoles « intervention » que dans les écoles « témoin ». Cependant, la pratique de sport était déjà plus élevée dans les écoles « intervention » en 2009, avant la mise en place de l’IEAN. Dans les écoles « intervention », il y a eu une diminution de l’utilisation du transport actif et une tendance plus élevée à regarder la télévision et à jouer à l’ordinateur pendant la semaine, comparativement aux écoles « témoin ». Cette étude a relevé des améliorations au niveau de l’alimentation, de la pratique de sports et de la satisfaction par rapport à l’image corporelle chez les écoliers. Cependant, les résultats montraient également une augmentation de la sédentarité chez les élèves. Suite à cinq ans d’activité de l’IEAN, il est difficile d’établir des liens de causalité entre l’intervention et les changements dans le comportement alimentaire et le mode de vie des élèves. Ainsi, des études longitudinales futures en milieu scolaire seraient nécessaires pour évaluer l’impact de l’IEAN sur le comportement des élèves. Mots-clés : Consommation alimentaire, perception de l’image corporelle, activité physique, sédentarité, impact, intervention, enfants d’âge scolaire, Ouagadougou, Burkina Faso, Afrique.fr
dcterms.abstractA study conducted in Ouagadougou, Burkina Faso, in 2009 and 2014 assessed the behavior of school-aged children. The aim of this study was to evaluate the impact of an intervention in schools on dietary habits, physical activity, and attitudes and perceptions towards body image. The nutritional intervention, called the “Nutrition-Friendly Schools Initiative” (NFSI) initiated by the World Health Organization in 2006 to prevent the double nutritional burden, was launched in six intervention schools in Ouagadougou. A baseline study in 2009 collected dietary and socio-demographic data from the six intervention schools as well as from six control schools that were comparable in terms of socioeconomic status (private/public) and geographic location (urban/peri-urban), prior to the initiation of the NFSI. Grade 5 students completed a questionnaire on the frequency of consumption of "healthy" foods (fruits, vegetables, meat, fish, legumes) and "superfluous" foods (cakes, biscuits, sweets, ice cream, soda), determinants of eating behavior, body image perception, and physical activity. Similar data were collected in 2014, five years after the initiation of NFSI, among 709 schoolchildren (54,3% girls) in the same 12 schools. The average age of the schoolchildren was 11,6 1,3 years. The analyses revealed an effect of the intervention on the consumption of "healthy" foods but not of "superfluous" foods. In intervention schools, schoolchildren ate "healthy" foods more frequently than in control schools. Schoolchildren who participated in the NFSI showed greater satisfaction with their body image in 2014 than in 2009 (p = 0.030), compared with students in control schools (p = 0.974). Between 2009 and 2014, sports practice increased in both groups of schools, with a higher frequency of practice in intervention schools than in control schools. However, the practice of sport was already higher in intervention schools in 2009, before the establishment of the NFSI. In intervention schools, there was a decrease in the use of active transportation and a higher tendency to watch television and use the computer during the week compared to control schools. This study found improvements in diet, sport practice and satisfaction with body image in schoolchildren. However, the results also showed an increase in sedentary behavior among students. After five years of NFSI activity, it is difficult to establish causal links between the intervention and changes in students’ eating behavior and lifestyle. Thus, future longitudinal school-based studies would be required to assess the impact of the NFSI on student behavior. Keywords: Food consumption, body image perception, physical activity, sedentary lifestyle, impact, intervention, school age children, Ouagadougou, Burkina Faso, Africa.fr
dcterms.languagefrafr


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