dc.contributor.author | Benmoussa, Ahmed Mahdi | |
dc.date.accessioned | 2018-04-02T19:36:36Z | |
dc.date.available | 2018-04-02T19:36:36Z | |
dc.date.issued | 2018 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/19905 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | |
dc.rights | Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada. | |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr | |
dc.title | D’Ibn Khaldûn à Frantz Fanon ; d’une émancipation acoloniale à une émancipation postcoloniale | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | La notion d’émancipation peut prendre différentes formes en fonction du cadre sémantique qui sous-tend la réflexion. Comment penser l’émancipation hors du cadre d’une pensée coloniale eurocentrée ? Pour y arriver, nous nous appuierons sur deux auteurs : Ibn Khaldûn et Frantz Fanon. Ceci nous permettra, d’une part, de rompre avec une certaine forme d’injustice épistémique, et d’autre part, de bâtir une conception renouvelée de l’idée d’émancipation. Nous centrerons nos analyses sur la place qui est faite à la structure familiale comme modèle pour l’action politique. Pour Platon, la cité c’est l’homme en grand. Nous ajouterions qu’entre la cité et l’homme il y a la famille. | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1703-1001 | |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | fr |
oaire.citationTitle | Les Cahiers d'Ithaque | |
oaire.citationStartPage | 89 | |
oaire.citationEndPage | 100 | |