Le contrat de mariage en droit québécois : un destin marqué du sceau du paradoxe
dc.contributor.author | Roy, Alain | |
dc.date.accessioned | 2007-08-02T18:27:07Z | |
dc.date.available | 2007-08-02T18:27:07Z | |
dc.date.issued | 2006 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/1418 | |
dc.format.extent | 2088541 bytes | |
dc.format.mimetype | application/pdf | |
dc.publisher | McGill Law Journal | en |
dc.subject | contrat de mariage | |
dc.subject | marriage contract | |
dc.subject | prenuptial agreement | |
dc.subject | antenuptial agreement | |
dc.subject | lésion | |
dc.subject | imprévision | |
dc.subject | patrimoine familial | |
dc.subject | prestation compensatoire | |
dc.subject | régime primaire | |
dc.subject | régimes matrimoniaux | |
dc.subject | Hartshorne | |
dc.title | Le contrat de mariage en droit québécois : un destin marqué du sceau du paradoxe | en |
dc.type | Article | en |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté de droit | fr |
dcterms.abstract | En 1989, le législateur québécois a restreint la liberté contractuelle des époux en imposant à tous les couples l'obligation de partager, au jour de la dissolution matrimoniale, un certain nombre de biens à caractère familial. Selon toute vraisemblance, le législateur souhaitait endiguer les injustices économiques engendrées par le divorce des femmes mariées dans les années 40, 50 et 60 sous un régime de séparation conventionnelle de biens. En visant l'ensemble des couples, le législateur a certes atteint son but, mais au détriment de ceux qui auraient pu raisonnablement et équitablement tirer profit du contrat de mariage. Après avoir mis en relief la rigidité des principes juridiques sur la base desquels le contrat de mariage a pu autrefois s'imposer au mépris d'une justice conjugale élémentaire, l'auteur examine les législations des autres provinces canadiennes qui, de tout temps, accordent aux tribunaux le pouvoir de réviser le contenu d'un marriage contract en cas d'iniquité ou d'abus. À la lumière de ces législations et de l'interprétation qu'en a retenu la Cour suprême du Canada dans l'arrêt Hartshorne, l'auteur propose l'introduction, en droit québécois, d'un pouvoir de révision ou d'annulation judiciaire du contrat de mariage pour cause de lésion et d'imprévision, ces normes de contrôle judiciaire étant à même d'assurer un meilleur équilibre entre liberté et équité. | en |
dcterms.description | [À l'origine dans / Was originally part of : Fac. Droit - Coll. facultaire - Droit privé - Famille et personnes] | fr |
dcterms.language | fra | en |
UdeM.VersionRioxx | Version acceptée / Accepted Manuscript | |
oaire.citationTitle | McGill law journal = Revue de droit de McGill | |
oaire.citationVolume | 51 | |
oaire.citationStartPage | 665 | |
oaire.citationEndPage | 693 |
Files in this item
This item appears in the following Collection(s)
This document disseminated on Papyrus is the exclusive property of the copyright holders and is protected by the Copyright Act (R.S.C. 1985, c. C-42). It may be used for fair dealing and non-commercial purposes, for private study or research, criticism and review as provided by law. For any other use, written authorization from the copyright holders is required.