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dc.contributor.advisorCardinal, Jacquesfr
dc.contributor.advisorEberle Sinatra, Michaelfr
dc.contributor.authorLaporte, Célinefr
dc.date.accessioned2012-05-28T13:54:17Z
dc.date.available2012-05-28T13:54:17Z
dc.date.issued2009-10-08fr
dc.date.submitted2009fr
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/7908
dc.subjectDraculafr
dc.subjectFrankensteinfr
dc.subjectTransgressionfr
dc.subjectLimitesfr
dc.subjectCréationfr
dc.subjectCorpsfr
dc.subjectDédoublementfr
dc.subjectLoisfr
dc.subjectComportementfr
dc.subjectRefoulementfr
dc.subjectDraculafr
dc.subjectFrankensteinfr
dc.subjectTransgressionfr
dc.subjectLimitsfr
dc.subjectCreationfr
dc.subjectBodyfr
dc.subjectDoublefr
dc.subjectLawsfr
dc.subjectBehaviorfr
dc.subjectRepressingfr
dc.titleLa transgression dans Dracula de Stoker et Frankenstein de Shelley : infection du corps et de l'esprit humainsfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertationfr
etd.degree.disciplineLittérature comparéefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractCe mémoire est une analyse comparative de Frankenstein de Mary Shelley et de Dracula de Bram Stoker sur la question de la transgression des limites naturelles et sociales. Ces deux auteurs utilisent la figure du monstre pour représenter l'importance du maintien de l'ordre pour la société et l'humain. Le monstre présente d'abord une transgression d'ordre naturel au moment de sa création qui le fait passer de la mort à la vie. Ensuite, le corps du monstre représente lui-même une transgression en étant à la fois mort, vivant, animal et humain. La présence du monstre est elle aussi une transgression, puisqu'il représente l'extériorisation d'une partie cachée de la psyché humaine. Enfin, en étant catégorisé étranger, le monstre n'a pas à respecter les lois sociales, ce qui augmente le désordre que la société doit éradiquer si elle veut survivre.
dcterms.abstractThis memoire is a comparative analysis of Mary Shelley's Frankenstein and Bram Stoker's Dracula on the subject of transgression. It explores the ways in which each author uses the figure of the monster to represent the transgression of limits that have been established by society and nature. The monster transgresses the limits imposed by nature at the moment of its creation and by its composition. Its body is also at the frontiers of the possible and the impossible by being simultaneously a representation of life, death, humanity and bestiality. The presence of the monster is also a transgression in itself as it is the embodiment of a part of the human psyche. Finally, the monstrous being's actions categorize him as an outsider and thus, it feels no need to respect the laws imposed on humanity by society. Order must then be re-established for humanity to survive.
dcterms.descriptionMémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.fr
dcterms.description[À l'origine dans / Was originally part of : Thèses et mémoires - FAS - Département de littérature comparée]fr
dcterms.languagefrafr


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