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dc.contributor.authorTchotourian, Ivan
dc.date.accessioned2011-08-25T14:23:51Z
dc.date.available2011-08-25T14:23:51Z
dc.date.issued2011
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/5206
dc.subjectcrise financièreen
dc.subjectbonusen
dc.subjectbanqueen
dc.subjectEncadrementen
dc.subjectFranceen
dc.subjectTaxationen
dc.subjectrégulationen
dc.subjectdroit comparéen
dc.subjectappréciation critiqueen
dc.titleDu « window dressing » en matière de bonus ? Analyse de l’attitude des régulateurs face aux rémunérations des professionnels de la financeen
dc.typeAutre / Other
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté de droitfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté de droit. Centre de droit des affaires et du commerce internationalfr
dcterms.abstractSi le dogme libéral a longtemps mis en avant la nécessité d’un interventionnisme restreint de l’autorité publique définissant post hoc le droit idéal comme un droit absent, cette idéologie semble être amenée à évoluer. Alors que le marché a longtemps été placé comme matrice de la civilisation et que ce phénomène a donné une place essentielle à la finance, différentes initiatives réglementaires françaises, européennes et mondiales remettent en cause ce paradigme et tentent d’encadrer les dérives du capitalisme contemporain axé sur un court- termisme à outrance et une irresponsabilité grandissante. La rémunération variable des opérateurs de marché (les fameux « bonus ») illustre ce phénomène de reflux du droit, un droit qui témoigne d’une collaboration entre acteurs publics et acteurs privés. Toutefois, ce nouveau paysage juridique n’est pas sans critiques. En effet, cette intervention se révèle trop limitée en l’état pour atteindre les ambitions que l’Etat français et ses homologues ne cessent de clamer : l’institution d’un pacte mondial à long terme.en
dcterms.languagefraen


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