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dc.contributor.advisorLegault, Marie-Josée
dc.contributor.authorOuellet, Kathleen
dc.date.accessioned2011-05-02T15:38:22Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2011-05-02T15:38:22Z
dc.date.issued2011-04-01
dc.date.submitted2010-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/4967
dc.subjectÉconomie du savoiren
dc.subjectGestion par projetsen
dc.subjectConcepteurs de jeux vidéoen
dc.subjectHeures supplémentaires non rémunéréesen
dc.subjectKnowledge economyen
dc.subjectProject-based systemen
dc.subjectVideo game developersen
dc.subjectUnlimited unpaid overtimeen
dc.subject.otherSociology - Industrial and Labor Relations / Sociologie - Travail et relations industrielles (UMI : 0629)en
dc.titleLes heures de travail chez les concepteurs de jeux vidéo : de la passion pour les jeux aux pratiques de mobilisationen
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineSociologieen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sen
etd.degree.nameM. Sc.en
dcterms.abstractInspiré par la réflexion quant aux nouvelles formes d’organisation du travail de la nouvelle économie, ce mémoire s’intéresse à la question des heures supplémentaires non formellement rémunérées chez une frange de travailleurs hautement qualifiés, les concepteurs de jeux vidéo. Très innovantes pour les employeurs, ces formes d’organisation, en particulier l’organisation par projets, ne sont pas sans poser des problèmes aux travailleurs. À l’instar des travailleurs du savoir qui sont souvent prêts à investir de longues heures au travail, les concepteurs de jeux vidéo travaillent fréquemment en heures supplémentaires. Or ces heures supplémentaires sont non seulement non rémunérées, mais elles sont aussi longues et fréquentes. Comment en vient-on à faire accepter aux concepteurs cette situation, sans toutefois exiger d’eux qu’ils travaillent en heures supplémentaires? Pour explorer cette question, les discours de 53 concepteurs de jeux vidéo montréalais ont été analysés. Les résultats de cette recherche dévoilent une explication basée sur un système informel de récompenses et de châtiments qui induit chez la majorité des concepteurs de jeux interrogés une propension à travailler en heures supplémentaires non rémunérées.en
dcterms.abstractInspired by the reflection made on the new forms of work organization system brought by the new economy, this M. Sc. Thesis is interested in unlimited overtime informally compensated for, among a highly skilled group of workers: video game developers. Innovative from employer’s standpoint, these types of organization system, in particular the project-based system does generate problems for the workers. Like the knowledge workers who are willing to invest long hours of work, the video game developers frequently work overtime. Not only is this overtime unpaid, but also it is long and frequent. How does management come to make the developers consent to such a demand, without requiring them to work overtime? To explore this question, we analyzed the interviews done with 53 designers from the Montreal’s video game industry. Indeed, interviews revealed that a majority of game developers make unlimited unpaid overtime on a regular basis. The results of this research offer an explanation based on an informal system of rewards and punishments.en
dcterms.languagefraen


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