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dc.contributor.advisorNadeau, Christian
dc.contributor.authorRicard, Laurence
dc.date.accessioned2010-12-17T20:32:39Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2010-12-17T20:32:39Z
dc.date.issued2010-11-04
dc.date.submitted2010-07
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/4457
dc.subjectPhilosophie politiqueen
dc.subjectPolitical philosophyen
dc.subjectPsychologie moraleen
dc.subjectMoral psychologyen
dc.subjectAutonomieen
dc.subjectAutonomyen
dc.subjectAutonomie relationnelleen
dc.subjectRelational autonomyen
dc.subjectReconnaissanceen
dc.subjectRecognitionen
dc.subjectCoopération socialeen
dc.subjectSocial cooperationen
dc.subjectJusticeen
dc.subjectJusticeen
dc.subject.otherPhilosophy / Philosophie (UMI : 0422)en
dc.titleAutonomie et reconnaissanceen
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePhilosophieen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sen
etd.degree.nameM.A.en
dcterms.abstractLa notion d’autonomie personnelle joue un rôle central dans les théories politiques contemporaines et, plus spécifiquement, dans les théories de la justice. Or, dans le paradigme libéral dominant, elle est définie par une compréhension rationaliste de l’agent individuel. La présente étude défend la nécessité de redéfinir ce concept d’autonomie à la lumière des développements philosophiques et psychologiques qui ont complexifié notre compréhension de la subjectivité. L’emploi du concept d’autonomie relationnelle développé par certains auteurs féministes et par certains théoriciens de la reconnaissance semble pour ce faire prometteur. En passant par une critique du libéralisme politique rawlsien, cette étude cherche à montrer qu’une compréhension relationnelle de l’autonomie est nécessaire pour expliquer la motivation à la coopération sociale et pour redéfinir la justice et l’injustice de façon à ce qu’elles correspondent à l’expérience sociale vécue.en
dcterms.abstractThe notion of personal autonomy plays a central role in contemporary political theories and especially in theories of justice. Generally speaking, the dominant liberal paradigm defines individual agency in a purely rationalistic manner. Against this tradition, the present study argues for the necessity of rethinking and redefining this rationalistic concept of autonomy in light of psychological and philosophical developments that have complicated our understanding of subjectivity. For this purpose, the concept of relational autonomy, developed by feminist authors and some theorists of recognition, is most promising. This study proceeds via a critique of Rawlsian political liberalism, and aims to show that a relational understanding of autonomy is necessary to explain motivations for social cooperation and to understand justice and injustice in a way that corresponds to lived social experience.en
dcterms.languagefraen


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