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dc.contributor.authorTRABELSI, Mohammed
dc.date.accessioned2006-09-22T19:55:20Z
dc.date.available2006-09-22T19:55:20Z
dc.date.issued2002
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/381
dc.format.extent164760 bytes
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.publisherUniversité de Montréal. Département de sciences économiques.fr
dc.subjectintermédiation financière
dc.subjectcroissance économique
dc.subjectcoupe instantanée
dc.subjectdonnées en panel
dc.subjectfinancial intermediation
dc.subjecteconomic growth
dc.subjectcross-section
dc.subjectpanel data
dc.titleFinance and Growth : Empirical Evidence from Developing Countries, 1960-1990
dc.typeArticle
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de sciences économiques
dcterms.abstractThis paper examines the empirical relationship between financial intermediation and economic growth using cross-country and panel data regressions for 69 developing countries for the 1960-1990 period. The main results are : (i) financial development is a significant determinant of economic growth, as it has been shown in cross-sectional regressions; (ii) financial markets cease to exert any effect on real activity when the temporal dimension is introduced in the regressions. The paradox may be explained, in the case of developing countries, by the lack of an entrepreneurial private sector capable to transform the available funds into profitable projects; (iii) the effect of financial development on economic growth is channeled mainly through an increase in investment efficiency.
dcterms.abstractCe papier teste la relation entre l’intermédiation financière et la croissance économique à l’aide de régressions en coupe instantanée et de données en panel pour 69 pays en développement, durant la période 1960-1990. Les principaux résultats sont : (i) le développement financier est un déterminant significatif de la croissance économique, tel que montré par les régressions en coupe instantanée; (ii) les marchés financiers cessent d’exercer tout effet sur l’activité réelle quand la dimension temporelle est introduite dans les régressions. Ce paradoxe peut être expliqué, dans le cas des pays en développement, par le manque d’un secteur entrepreneurial privé capable de transformer les fonds disponibles en projets profitables; (iii) l’effet du développement financier sur la croissance économique est transmis principalement à travers une augmentation de la productivité des investissements.
dcterms.isPartOfurn:ISSN:0709-9231
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleCahier de recherche
oaire.citationIssue2002-13


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