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dc.contributor.advisorMartin Sevillano, Ana Belen
dc.contributor.authorRomero Rosas, Dafne Elena
dc.date.accessioned2024-11-28T20:44:21Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2024-11-28T20:44:21Z
dc.date.issued2024-10-30
dc.date.submitted2024-07
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/34019
dc.subjectViolence fondée sur le genrefr
dc.subjectRécit courtfr
dc.subjectHorreurfr
dc.subjectFantastiquefr
dc.subjectGender violencefr
dc.subjectShort storyfr
dc.subjectHorrorfr
dc.subjectFantasticfr
dc.subjectViolencia de génerofr
dc.subjectCuentofr
dc.subjectHorrorfr
dc.subjectFantásticofr
dc.subject.otherLatin American studies / Études latino-américaines (UMI : 0550)fr
dc.titleLa violencia de género en el cuento fantástico y de terror de autoría femenina en Latinoamérica (2016-2022)fr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineÉtudes hispaniquesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréal
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractCes dernières années, la littérature latino-américaine a connu un accroissement de la production et de la publication de femmes écrivains qui explorent des genres tels que l'horreur ou le fantastique pour aborder les questions sociales qui les intéressent. Parmi ces thèmes figure la violence fondée sur le genre. Cette violence est le résultat de comportements normalisés soutenus par les structures patriarcales des sociétés latino-américaines, que ce soit dans le système gouvernemental ou scolaire, au travail ou dans la sphère familiale. Le présent travail de mémoire vise à réfléchir à la manière dont certaines auteures latino-américaines contemporaines abordent la violence fondée sur le genre à travers des récits courts dans les genres de l'horreur et du fantastique. Des histoires tirées des livres de cinq écrivaines seront analysées : Las cosas que perdimos en el fuego (2016) de Mariana Enríquez (Argentine), Las voladoras (2020) de Mónica Ojeda (Équateur), Sacrificios Humanos (2021) de María Fernanda Ampuero (Équateur), Despojos (2022) de Lola Ancira (Mexique) et Perras de reserva (2022) de Dahlia de la Cerda (Mexique). L'analyse examine en particulier la relation entre le genre et la forme littéraires, d'une part, et l'intrigue et le sujet des textes, d'autre part. Les histoires sont considérées à la fois comme des produits esthétiques et des produits sociaux qui remettent en question les pratiques sociopolitiques qui maintiennent l'inégalité des femmes en Amérique latine.fr
dcterms.abstractLatin American women´s writing has recently experienced an interest in the representation of social issues under the aesthetics of the fantastic or of terror. Among these social themes is gender violence. Such violence is the result of normalized behaviors supported by patriarchal structures in Latin American societies, whether in the government or school systems, at work or within the family nucleus. This thesis focuses on the representation of gender violence in horror and fantastic short-stories written by contemporary Latin American women. It analyses five volumes of short-stories: Las cosas que perdimos en el fuego (2016) by Mariana Enríquez (Argentina), Las voladoras (2020) by Mónica Ojeda (Ecuador), Sacrificios Humanos (2021) by María Fernanda Ampuero (Ecuador), Despojos (2022) by Lola Ancira (Mexico) y Perras de reserva (2022) de Dahlia de la Cerda (Mexico). The analysis focuses on the relationship between formal aspects and the plot and themes in the stories. Thus, they are considered aestetical and social products that cuestion sociopolitical practices that mantain gender inequality in Latinamerica.fr
dcterms.abstractLa literatura en América Latina ha experimentado en años recientes un auge en la producción y publicación de autoras que exploran géneros como el horror o lo fantástico para abordar los temas sociales que les interesan. Entre estos temas se encuentra la violencia de género. Dicha violencia es el resultado de conductas normalizadas apoyadas por estructuras patriarcales en las sociedades latinoamericanas, tanto en el gobierno o los sistemas escolares, como en el ámbito de trabajo o en el núcleo familiar. El presente trabajo analiza la representación de la violencia de género en relatos fantásticos y de horror escritos por escritoras latinoamericanas contemporáneas. El corpus de análisis está compuesto de cinco volúmenes de relatos: Las cosas que perdimos en el fuego (2016) de Mariana Enríquez (Argentina), Las voladoras (2020) de Mónica Ojeda (Ecuador), Sacrificios Humanos (2021) de María Fernanda Ampuero (Ecuador), Despojos (2022) de Lola Ancira (México) y Perras de reserva (2022) de Dahlia de la Cerda (México). El análisis considera en particular la relación del género literario y de la forma con la trama y la temática de los textos. Los relatos se entienden en su doble vertiente de productos estéticos y de productos sociales que cuestionan prácticas sociopolíticas que mantienen la desigualdad de las mujeres en Latinoamérica.fr
dcterms.languagespafr


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