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dc.contributor.advisorIsabelle, Daigneault
dc.contributor.authorSanchez, Gelymar
dc.date.accessioned2024-09-06T11:39:59Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2024-09-06T11:39:59Z
dc.date.issued2023
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/33778
dc.subjectViolence sexuellefr
dc.subjectCampusfr
dc.subjectFemmesfr
dc.subjectÉtudiantes universitairesfr
dc.subjectMessages préventifsfr
dc.subjectPréventionfr
dc.subjectViol commis par une connaissancefr
dc.subjectViolence sexuellefr
dc.subjectPreventionfr
dc.subjectSexual violencefr
dc.subjectAcquaintance rapefr
dc.subjectPrevention messagesfr
dc.subjectFemale university studentsfr
dc.subjectWomenfr
dc.subjectCampusfr
dc.titleExploring associations between exposure to prevention messages about sexual violence and variables known to be associated with a reduced Risk of victimization among undergraduate womenfr
dc.typeTravail étudiant / Student workfr
etd.degree.disciplinePsychologie cliniquefr
dcterms.abstractLa prévalence de la victimisation sexuelle parmi les étudiants universitaires est élevée et les étudiantes de premier cycle font partie des groupes les plus à risque. Au cours des dernières années, les universités ont été confrontées à une pression croissante pour offrir aux étudiants des mesures de prévention contre la violence sexuelle. L’efficacité des stratégies de prévention actuellement en place reste incertaine. Les objectifs de cette étude étaient (1) de caractériser la nature de l’exposition des étudiantes de premier cycle aux messages préventifs au cours de leur première année à l’université, et (2) d’évaluer les changements sur 12 mois pour cinq variables connues pour être associées à une réduction du risque de victimisation (attitudes, croyances, connaissances et intention comportementale) et de déterminer si les changements observés sont associés à l’exposition cumulative aux messages préventifs. Des étudiantes de premier cycle (âgées de 17 à 24 ans) de sept universités francophones canadiennes (n=271) ont rempli des questionnaires en ligne à leur arrivée sur le campus et 12 mois plus tard. Des analyses univariées ont été menées pour évaluer les associations. Au cours de leur première année à l’université, la plupart des participantes ont signalé avoir été exposées à des messages préventifs en ligne, n’avoir aucune exposition à des contenus en autodéfense et avoir une faible durée cumulative d’exposition. Nous avons observé une diminution globale de l’adhésion aux mythes du viol et des stratégies de résistance rapportées dans un scénario hypothétique, ainsi qu’une augmentation globale de la perception du risque personnel au cours de la première année. Une exposition cumulative de plus longue durée sur le campus était associée à une diminution de la perception du risque personnel et à une augmentation des stratégies de résistance rapportées dans un scénario hypothétique. Les résultats suggèrent que de plus fortes doses d’exposition aux messages préventifs et une programmation de prévention plus efficace sont nécessaires pour s’assurer que les étudiantes de premier cycle soient exposées à des messages ayant un impact sur des variables associées à la victimisation, dans le but ultime de réduire les taux de victimisation sexuelle.fr
dcterms.abstractThe prevalence of sexual victimization among university students is high and undergraduate women are among the most at-risk groups. Universities are being increasingly pressured to implement sexual violence prevention on campuses. The effectiveness of prevention strategies currently in place is unclear. The goals of the current study were (1) to characterize the nature of exposure to prevention messages of undergraduate women during their first year of university and (2) to assess changes over 12 months across five variables known to be associated with a reduced risk of victimization (attitudes, beliefs, knowledge, and behavioural intent) and to determine whether the observed changes are associated with cumulative exposure to prevention messages. Undergraduate women (ages 17-24) from seven francophone universities in Canada (n=271) completed online questionnaires upon arrival on campus and 12 months later. Univariate analyses were conducted to assess associations. During their first year of university, most participants reported exposure to prevention messages online, no exposure to self-defence content, and low cumulative duration of exposure. We found an overall decrease in endorsement of rape myths and reported known resistance strategies, as well as an overall increase in perception of personal risk during the first year. Longer cumulative duration of on-campus exposure was associated with decreases in perceptions of personal risk and with increases in reported known resistance strategies. The findings suggest that greater doses of exposure to prevention messages and more effective prevention planning are needed to ensure that undergraduate women’s exposure impacts victimization-related variables with the ultimate goal of reducing sexual victimization rates.fr
dcterms.descriptionEssai doctoral présenté en vue de l’obtention du grade de Docteur en psychologie (D.Psy), option psychologie cliniquefr
dcterms.languageengfr
UdeM.cycleÉtudes aux cycles supérieurs / Graduate studiesfr


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