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dc.contributor.advisorMoyes, Lianne
dc.contributor.advisorLupașcu, Victoria-Oana
dc.contributor.authorCuartas Aristizabal, Federico
dc.date.accessioned2024-09-05T19:37:46Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2024-09-05T19:37:46Z
dc.date.issued2024-08-13
dc.date.submitted2024-04
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/33773
dc.subjectfantômesfr
dc.subjectLafcadio Hearnfr
dc.subjectShirley Jacksonfr
dc.subjectaffectsfr
dc.subjectfearfr
dc.subjectpainfr
dc.subjectdouleurfr
dc.subjectghostsfr
dc.subjectpeurfr
dc.subject.otherEnglish literature / Littérature anglaise (UMI : 0593)fr
dc.titleDreams screams and other violent means : an essay on ghostsfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineÉtudes anglaisesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréal
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractCette thèse se concentre sur l'incarnation descriptive du fantôme en tant qu'expérience sublime dans la littérature. Le fantôme, en tant que signe éthéré, semi-transparent, devient une question de perception qui peut être soit séduisante, soit répulsive, parce qu'inconcevable. C'est dans cette optique que deux nouvelles ont été choisies comme principales études de cas pour cette thèse : Le conte de Lafcadio Hearn, « A Passional Karma », extrait de « In Ghostly Japan » (1899), et « The Tooth » de Shirley Jackson, extrait de son recueil de nouvelles « The Lottery » (1949). La principale perspective argumentative de cette thèse est basée sur une lecture attentive de la délimitation descriptive de l'entité fantomatique impliquée dans chacune de ces histoires ; sur la base du langage employé pour faire apparaître le fantôme, une portée émotionnelle est établie par l'affect de la peur. Les deux chapitres de cette thèse partent de l'idée que le véritable lieu de naissance du fantôme se trouve dans la politique qui gouverne la société. La politique, c'est la répression et le contrôle exercés par tous les moyens disponibles au nom de la régulation, mais tout ce qui est réprimé finit toujours par revenir sous de nouvelles formes inattendues. Il réapparaît comme le fantôme. Hearn raconte l'histoire d'une société du passé qui illustre comment le temps, au sens karmique de l'action, n'a pas de fin dans les incidences successives d'un seul événement fatidique. Quant à Shirley Jackson, elle s'empare de son propre temps présent et l'utilise pour démontrer la hantise sous-jacente qui se cache sous le vernis de la normalité. Ces deux récits présentent l'affect de la peur comme une émotion ancrée à l'extérieur de l'individu ; comme des mains qui se referment sur un oiseau sans défense, l'affect de la peur éloigne les individus de leurs décisions personnelles et les force à endosser des rôles approuvés par la société.fr
dcterms.abstractThis thesis focuses on the descriptive embodiment of the ghost as a sublime experience through literature. How does literature present an immaterial entity? The ghost as an ethereal, semi-transparent signpost beseeching of meaning becomes a matter of perception which can be either alluring or repulsive, because inconceivable. With this in mind, two short stories have been selected as the main case studies for this thesis, these are: Lafcadio Hearn’s tale A Passional Karma, from In Ghostly Japan (c. 1899), and Shirley Jackson’s “The Tooth” from her short story compendium “The Lottery” (c. 1949). The main argumentative outlook of this thesis is based on a close reading of the descriptive delimitation of the phantom entity involved in each one of these stories; based on the language employed to bring forth the ghost an emotional scope is set by the affect of fear. Both chapters of this thesis work with the idea that the real birthplace of the ghost is to be found in the politics that govern society. Politics is repression and control exercised by any means available in the name of regulation, but whatever is repressed always ends up by coming back under unexpected new forms. It reemerges like the ghost. Hearn tells a tale from a society in the past that exemplifies how time, in the karmic sense of action, is non ending in the successive incidences of a single fateful event. While Shirley Jackson takes on her own present time and uses it to demonstrate the underlying haunting underneath the veneer of normality. Both these stories present the affect of fear as an emotion anchored outside of the individual; like hands tightly closing around a defenseless bird, the affect of fear drives individuals away from personal decisions and forces them into societally endorsed roles.fr
dcterms.languageengfr


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