The Money Question and the Good Life
dc.contributor.author | Jos, Philips | |
dc.date.accessioned | 2010-02-04T23:00:05Z | |
dc.date.available | 2010-02-04T23:00:05Z | |
dc.date.issued | 2006 | |
dc.identifier.uri | http://ethique-economique.net/ | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/3364 | |
dc.publisher | Centre de recherche en éthique de l'Université de Montréal | |
dc.subject | Philosophy | en |
dc.subject | Ethics | en |
dc.subject | Economics | en |
dc.subject | Good life | en |
dc.subject | Capabilities | en |
dc.subject | pauvreté | en |
dc.title | The Money Question and the Good Life | en |
dc.type | Article | en |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthique | fr |
dcterms.abstract | This paper proposes a theory of the good life for use in answering the question how much money the rich should spend on fighting poverty. The paper moves from the abstract to the concrete. To begin with, it investigates various ways to get an answer to the question what is good, and finds itself drawn to objective theories of the good. It then develops, taking Bernard Williams and Martha Nussbaum as its guides, a broad outline of a theory of the good. It holds that something evil happens to people if they do not have a real choice from a reasonable number of projects that realize most of their key capacities to a certain degree, and in connection to this it points to the great importance of money. The paper goes on specifically to consider what criticisms of Nussbaum's version of the capability approach are implied in this outline of a theory of the good. Next, it gets more specific and asks how much money the rich can give -and how they can be restricted in spending their money- without suffering any evil. It does three suggestions: the tithe suggestion, the ecological (or footprint) suggestion, and the fair trade suggestion. To conclude, the paper returns to the question how much money the rich should spend on fighting poverty. | en |
dcterms.abstract | Ce papier propose une théorie de la vie bonne en vue de répondre à la question combien d’argent les riches doivent-ils consacrer à la lutte contre la pauvreté. Le papier débute de manière abstraite pour finir sur des aspects concrets. Il commence par une investigation de la question qu’est ce qu’une vie bonne, s’articule autour des théories objectives du bien. Il développe alors, à partir de Bernard Williams et Martha Nussbaum, un large contour de la théorie du bien. Il soutient que quelque chose de mauvais arrive aux personnes si elles n’ont pas un choix réel entre un nombre raisonnable de projets qui réalisent jusqu’à un certain degré la plupart de leurs capacités essentielles. En connexion avec ceci, il souligne la grande importance de la monnaie. Le papier examine les critiques de la version des capabilités proposée par Nussbaum qu’une telle théorie implique. Ensuite, il s’oriente de manière plus spécifique sur la question combien les riches doivent-ils donner-et comment ils peuvent être restreints concernant leurs dépenses- sans souffrir d’aucun mal. Il fait trois suggestions : la suggestion du dixième, la suggestion écologique (ou de l’empreinte écologique), et celle du commerce équitable. Pour conclure, le papier revient sur la question combien les riches doivent-ils consacrer à la lutte contre la pauvreté. | en |
dcterms.alternative | An Enquiry Guided by Williams and Nussbaum | en |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1639-1306 | |
dcterms.language | eng | en |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | |
oaire.citationTitle | Éthique et économique = Ethics and economics | |
oaire.citationVolume | 4 | |
oaire.citationIssue | 1 |
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