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dc.contributor.advisorVan der Maren, Jean-Marie
dc.contributor.authorDesjardins, Julie
dc.date.accessioned2024-05-21T18:45:29Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2024-05-21T18:45:29Z
dc.date.issued2000-09-07
dc.date.submitted1999-11
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/33247
dc.subjectFormation réflexivefr
dc.subjectÉducationfr
dc.subject.otherEducation / Éducation (UMI : 0515)fr
dc.titleAnalyse critique du champ conceptuel de la formation réflexivefr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineSciences de l'éducation - Administration de l'éducationfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréal
etd.degree.levelDoctorat / Doctoralfr
etd.degree.namePh. D.fr
dcterms.abstractCette thèse propose une analyse du champ conceptuel de la formation réflexive, tel qu'il se présente dans les discours du Conseil supérieur de l'éducation, du Ministère de l'éducation du Québec et des universités. Dans une perspective à la fois descriptive et critique, la recherche vise le double objectif de circonscrire ce champ conceptuel et de mettre au jour les arguments qui ont motivé son introduction dans les programmes de formation initiale des enseignants. En s'appuyant sur une littérature critique, la recherche a fait l'hypothèse que la formation reflexive serait un champ conceptuel à la fois flou et polysémique et que le choix d'axer la formation des enseignants sur la réflexion ne serait pas fondé sur des données empiriques mais seulement justifié par des arguments intuitifs. Les discours du Conseil supérieur de l'éducation, du Ministère de l'éducation et de trois universités ont été soumis à une analyse conceptuelle et à une analyse rhétorique. La recherche révèle que, dans ces discours, la formation reflexive est un champ conceptuel qui reste mal défini et qui n'est légitimé par aucun cadre théorique en particulier. En ce qui concerne les arguments qui supportent le choix d'une formation reflexive, la recherche confirme que ce choix ne s'appuie pas sur des données empiriques. Dans le texte du Conseil supérieur de l'éducation, ce champ conceptuel est associé à une rhétorique de valorisation de renseignement, mais la recherche suggère que c'est plutôt sur la base d'une argumentation de type pragmatique (argumentation par les conséquences), que l'on a choisi d'axer la formation des enseignants sur la réflexion. La recherche soulève cependant la fragilité de cette argumentation dans la mesure où toutes les conséquences sont présentées comme des faits alors que ce ne sont que des présomptions. En mettant au jour l'instabilité du champ conceptuel de la formation réflexive, la recherche pointe l'urgence de procéder à la clarification de ce champ conceptuel en départageant ce qui relève des faits et ce qui relève des choix pédagogiques. Sur la plan de la recherche, la thèse presse les chercheurs de valider les effets associés à une formation reflexive. Mais plus encore, la thèse suggère qu'après avoir longtemps étudié la nature des savoirs enseignants, il est maintenant temps pour les chercheurs de se consacrer à l'étude du phénomène complexe de formation/apprentissage de l'enseignement.fr
dcterms.descriptionThèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.fr
dcterms.languagefrafr


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