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dc.contributor.advisorCardinal, Jacques
dc.contributor.authorHuard, Maxime
dc.date.accessioned2010-01-19T17:41:46Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2010-01-19T17:41:46Z
dc.date.issued2009-12-03
dc.date.submitted2009-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/3273
dc.subjectSujeten
dc.subjectVoyageen
dc.subjectRéciten
dc.subjectLangageen
dc.subjectImaginaireen
dc.subjectAutreen
dc.subjectIdentitéen
dc.subjectDésiren
dc.subjectOrigineen
dc.subjectExpatriationen
dc.subjectSelfen
dc.subjectTravelen
dc.subjectWritingen
dc.subjectLanguageen
dc.subjectImaginaryen
dc.subjectOtheren
dc.subjectIdentityen
dc.subjectDesireen
dc.subjectOriginen
dc.subject.otherLiterature - Modern / Littérature - Moderne (UMI : 0298)en
dc.titleHenri Michaux et le récit de voyage : la place du sujet dans l’écriture de l’ailleursen
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineLittérature comparéeen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sen
etd.degree.nameM.A.en
dcterms.abstractLe but premier de cette étude sera de comprendre le rôle de l’écriture de voyage telle qu’elle est pratiquée dans l’œuvre d’Henri Michaux et d’expliquer le parcours qui mène ce dernier du voyage réel au voyage imaginaire. Les trois ouvrages principaux qui constitueront notre objet d’analyse, c’est-à-dire Ecuador (1929), Un Barbare en Asie (1933), ainsi que le récit imaginaire d’Ailleurs (1946), transforment chacun à leur façon le genre de la relation de voyage en mettant de l’avant non pas une écriture de l’Autre mais une écriture de soi. Il semble en effet que, chez Michaux, l’écriture de l’ailleurs n’a de valeur que dans l’affirmation de la position du sujet face à un réel angoissant, réel devant impérativement être tenu à distance par le biais du langage. Incidemment, dans sa volonté d’expatriation, le voyageur est pris entre deux temps bien distincts, celui du désir d’adéquation et celui du repli sur soi.en
dcterms.abstractThe primary focus of this study will be to understand the role of travel writing as put forward in the works of Henri Michaux and to retrace the itinerary that leads the author from real travel to imaginary travel. The three books that will constitute our main body of analysis, namely Ecuador (1929), Un Barbare en Asie (1933), and the fictitious journey of Ailleurs (1946), have transformed each in its own way the genre of travel literature by suggesting not only a representation of the Other, but a writing of the self. Indeed, it seems that for Michaux, the representation of unknown territories holds significance only in the way that, through it, the self can assert its own position in the face of a menacing outside world, an outside world that must be held at bay through a defensive use of language. Consequently, the traveler is stuck between two very distinct postures, the first being his desire for adequacy and the latter his turning in on himself.en
dcterms.description[À l'origine dans / Was originally part of : Thèses et mémoires - FAS - Département de littérature comparée]fr
dcterms.languagefraen


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